• Les premières photos ont pu être répertoriées qui, nous l'espérons sincèrement, donneront des regrets à ceux d'entre vous qui avaient choisi de ne pas assister à cette deuxième journée Compagnons organisée par DECAL'AGE PRODUCTIONS Editions et proposée autour des COMPAGNONS DE LA CHANSON !

    Un grand merci, c'est bien le moins, à la Médiathèque de Cran-Gevrier qui aura énormément contribué à faire de cet événement un événement dont on se souviendra. Par la qualité des présents d'abord avec une Mimi LANCELOT (en photo ci-dessus) et l'ancien COMPAGNON DE LA MUSIQUE Roger MANSUY au sommet de leur forme et par l'émotion perceptible qui s'en est dégagée. Tant durant les retrouvailles lors de la dédicace que pendant le repas des admirateurs qui aura permis aux participants d'entendre Mimi nous raconter "ses Compagnons" avec tout un lot d'anecdotes parfois inédites ou complétées de quelques précisions.

    Comme nous l'avions proposé à Lyon sur huit pages, un SOUVENIR sera cette fois-ci édité dans les prochains jours sur douze pages (textes abondamment illustrés) que vous pouvez déjà commander en nous adressant votre demande à DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions, 6 place du Général Leclerc à Périgueux (24000) avec votre règlement de 13 €.

     


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  • La première question que l'on entend posée au retour d'une journée comme celle que nous venons d'organiser à Cran-Gevrier avec Christian FOUINAT et Jean-Jacques BLANC est toujours la même : "Alors, comment c'était".

    Il est vrai que onze mois plus tôt, nous buvions du petit lait. Car malgré un embrouillamini de dernière minute, une couverture d'ouvrage hommage fabriqué en Italie non conforme à nos souhaits et retravaillée en toute hâte à la dernière minute, une grève des cheminots et la difficulté rencontrée à Lyon pour trouver un lieu de rendez-vous susceptible d'abriter "notre première journée hommage Compagnons", le résultat avait été correct. Nous l'avions même quelque peu enjolivé pour ne pas penser aux nombreux autres couacs : un article de presse prévu au départ pour sortir deux jours avant le rendez-vous et qui n'était sorti dans le PROGRES de Lyon que le jour même nous privant d'une fréquentation un peu plus conséquente, un manque d'appui local évident... et j'en passe... 

    Aujourd'hui, et je l'avais appelé de mes voeux, un dernier carré d'admirateurs des COMPAGNONS DE LA CHANSON étaient présents. Malgré, pour certains, leurs soucis quotidiens, nombreux sont ceux qui avaient tenu à montrer qu'ils n'avaient pas oublié leurs marchands de bonheur. Je crois qu'ils ne l'ont pas regretté avec la présence de notre Mimi LANCELOT qui aura illuminé notre repas de fin de journée samedi soir ! Nous aurons bien entendu l'occasion d'y revenir dans le détail puisqu'un souvenir de cette manifestation abondamment illustré vous sera proposé dans les prochains jours.

    Sur la photo ci-dessus, Mimi en grande conversation avec notre ami Marc HERRAND et, derrière eux au fond avec un pull rayé, Roger MANSUY à côté de Gérard SABBAT qui lui fait face et qu'il a eu plaisir à retrouver.


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  • Le carnet ci-dessus, c'est l'un de ceux que Mireille de Frontignan a conservé. Avec un billet de représentation, ce carnet soigneusement étiqueté avec une dymo est le témoin de toutes ces années passion vécues à leurs côtés. Celles d'une admiratrice de base qui, bien entendu, n'entend pas rater la moindre dédicace Compagnons. Que ce soit à Lyon ou ailleurs ! 

    Pourquoi les Compagnons ? La question est revenue, souvent…
    A la maison, si les siens étaient fans de BECAUD, c’est le film : Si tous les gars du monde et un intérêt décuplé pour les chanteurs qui interprétaient le générique du film qui aura amenée Mireille aux COMPAGNONS DE LA CHANSON. A l’époque Ils n’avaient pas chez eux de télé ni de tourne-disques, seulement une radio qui leur permettait d’écouter des émissions comme Musicorama sur Europe 1, la toute nouvelle station. Il a donc fallu attendre 1958 qu’un Teppaz entre à la maison pour qu'elle achète quelque temps plus tard un premier disque. Ce fut : Le marchand de bonheur et verte campagne. D’autres ont bien entendu suivi.
    En 1962, commençant à travailler, elle put enfin se payer une place à Bobino où elle eut la surprise de constater que les Compagnons couvraient les deux parties du spectacle alors qu'elle s’était attendue à ce qu’il y ait également d’autres artistes. Alors qu'elle avait eu peur de la longueur du spectacle et d'envisager partir à l’entracte, elle y retournera trois fois pour voir le spectacle dans son intégralité. Un véritable coup de foudre ! Elle n'est pas la première à dire qu'il fallait avoir vu les Compagnons sur scène avec leurs sketches pour apprécier toute la différence qu’il pouvait y avoir avec un microsillon !
    Après un autographe cueilli en coulisses, elle découvrira des êtres charmants, simples et disponibles qui avaient, pour chacun, un mot gentil. Son intérêt pour eux s’accroîtra sans qu'elle se doute, à Bobino en 1968, que cette passion l’emmènera... jusqu’en 1985 et à plusieurs de leurs spectacles, avec parfois quelques autres admirateurs rencontrés ça et là ! Repérés par les Compagnons, ceux-ci multiplieront les gentillesses à son égard. Fred leur serrera la main et, à l’issue d’un spectacle, René leur proposera un jour de les raccompagner sur Paris en voiture ! Un véritable rêve ! Les connaissant mieux, il lui arrivera progressivement d'assister parfois à certaines de leurs répétitions d’avant spectacle et d'avoir la possibilité d'obtenir d'eux programmes et disques.
    C'est en assistant à une représentation en novembre 1969 qu'elle s'apercevra que Guy BOURGUIGNON était absent. Ils apprendront quelques jours plus tard la gravité de son état puis le drame… et sa disparition ! En 1972, départ de Jean BROUSSOLLE ! Elle lui en voudra quelque temps car trois ans après le décès de Guy… partir comme ça ! Comme beaucoup d'autres, elle avait craint le départ de ce pilier et vu d’un mauvais œil l’arrivée de GASTON avant… de pleinement apprécier par la suite ses qualités de musicien et sa gentillesse.
    Durant quinze ans et jusqu’à leurs adieux, elle partagera leurs joies et leurs peines conservant en mémoire et dans ses cahiers et ses répertoires des souvenirs de toute sorte. Parfois emplis de tristesse à l'annonce d'une disparition. Celle de la femme de Jean-Louis ou le décès de Jean BROUSSOLLE. Parfois comme au Casino de La Baule où lors d’une représentation le public attendra trois chansons pour se dérider. Elle pense qu’ils faisaient un peu partie de sa famille et c’était toujours avec plaisir qu'elle en a retrouvés deux à Cran-Gevrier. Nous avions fini par nous serrer la main, nous embrasser, nous a-t-elle dit, et je connaissais leurs femmes et leurs enfants au point qu’au Pavillon Balthard à Nogent-sur-Marne, lors de la der des der, elle ne pourra retenir ses larmes à l’idée de les voir une dernière fois entrer sur scène. Dans cette passion des COMPAGNONS DE LA CHANSON, c’est avant toute chose leur respect pour le public, leur simplicité et leur talent qui l’auront séduite. Elle pense qu'ils ont écrit une grande page de l’histoire de la Chanson française !


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  • Parfois, une furieuse envie de passer la main me prend et je me demande s'il faut insister dans la lutte que je me suis imposée pour que les COMPAGNONS DE LA CHANSON ne soient pas complètement oubliés. Et puis les choses reprennent leur place et je poursuis mes efforts. Ceux qu'un beau dimanche de février 2007 je me suis juré d'entreprendre après avoir revu Fred MELLA chez DRUCKER au moment où sortait le film "La môme"... Parfois, et je le reconnais, j'ai un peu de mal à décrypter les messages ou les attentes des autres admirateurs, pensant ramer dans le sens d'un courant porteur sans me rendre compte que j'ai déjà atteint la falaise... Mal réveillé, rien compris ?... Sûrement... 

    Pourtant, en mars 2007, lors de la création de cet espace, tout me semblait clair. Les médias avaient oublié jusqu'à l'existence même des COMPAGNONS DE LA CHANSON et il convenait de leur rappeler qu'une bande d'admirateurs avaient décidé de ruer dans les brancarts pour que l'on reparle enfin de ces hommes qui avaient tout de même écrit l'une des plus belles pages de la Chanson française et qu'on les réhabilitent, qu'on les sorte de l'oubli. 

    Certains, depuis, se sont même offusqués que l'on puisse employer le terme de réhabilitation dans la mesure où nos amis n'avaient jamais failli. Ils n'ont pas tort et au sens littéral du terme, je reconnais que leur réflexion était tout à fait pertinente. Même si... je continue à penser aujourd'hui que pour être ainsi puni, il faut en avoir fait ! Comme disent les enfants morigénés : mais, j'ai rien fait ! Oui, c'est exact, ils n'ont rien fait nos COMPAGNONS ou du moins on ne leur a jamais reproché d'avoir commis un acte qui ferait saliver n'importe quel média à la recherche d'un scoop croustillant... 

    Et donc ! Pourquoi un tel silence ? Décidément, j'ai toujours autant de mal à m'y résoudre et je crois que le pire serait de donner raison à tous ces rabats-joie en ne participant pas à ce rassemblement de Cran-Gevrier que nous avons voulu et porté au-delà de toute raison et qui, en termes de présence, n'a qu'un objectif : battre celui de décembre 2007 à Lyon conclu en pleine grève des cheminots où il manquait, c'est vrai, aux côtés de nos amis Marc HERRAND, Yvette GIRAUD et Gérard SABBAT, tous ceux qui nous ont fait, cette fois-ci, l'amitié d'accepter notre invitation. En tout cas, ce qui est déjà sûr, c'est qu'à Cran-Gevrier, dans quelques jours, et il faut s'en persuader, il ne s'agira pas d'un combat d'arrière-garde de quelques poilus déterminés à rester cramponnés à leur tranchée. En examinant la liste des quelques admirateurs du dernier carré de combattants, je crois pouvoir dire qu'il s'agira d'une résistance de ceux qui n'entendent pas capituler devant les événements. C'est peut-être leur aide qui me redonnera envie de continuer à organiser des rencontres Compagnons et qui sera la source de beaucoup de regrets chez ceux qui n'avaient pas cru devoir y venir. Et, qui sait, peut-être que de nouveaux supporters apparaîtront. C'est ce dont je veux me persuader car je suis convaincu que j'ai eu raison d'insister et de laisser la lumière brûler encore un peu... 

    Allez les amis, soyons fous, osons ! Il le faut ! L'une de leurs dernières affiches de 1983 reprise en tête d'article finira, j'en suis sûr, par décider tous ceux qui ne pensaient pas que ce rendez-vous était aussi important ! Il l'est pourtant ! Jamais même il ne l'a autant été !

    Louis PETRIAC


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  • Comme je l'avais promis à l'animateur de notre site, voici deux photos prises lors du concert de dimanche à Châteaurenard avec René MELLA et son groupe LES COPAINS D'ACCORD, GASTON et le groupe vocal " ARC-EN-CIEL ". Un concert très réussi au cours duquel " la chanson des Compagnons " a été bien sûr à l'honneur pendant près de deux heures et demie. Il y a eu également beaucoup d'émotion avec la présence de Mimi LANCELOT de Brigitte BROUSSOLLE et de Jackie MELLA l'épouse de René. Nous étions assis ensemble et je peux dire qu'elles ont chanté pratiquement toutes les chansons au cours du concert. 

    Il y avait également la belle fille de Brigitte et sa ravissante petite fille, et cela a été très émouvant lorsqu'un hommage a été rendu sur scène à son Papy Jean BROUSSOLLE. Sur la première photo ci-dessous de g. à droite, debouts : René MELLA, Monique CHARRAS, X ? , Jackie MELLA, Brigitte BROUSSOLLE, GASTON. Assis : Mimi LANCELOT et votre serviteur. Deuxième photo, de g.à droite : Mimi LANCELOT, Jackie MELLA, V/S, Brigitte BROUSSOLLE, Monique CHARRAS. 

    Etaient également présents dans la salle, venus soutenir nos amis René et Gaston, quatre JOYEUX COMPAGNONS : Pierre SALVETTI, André SOLLIER, Bernard MABY et Jacques CASULLA. Et au risque de me répéter, ce ne fut que du bonheur, n'est-ce pas Mireille ? D'autres photos du concert (une dizaine) ont été prises que je pourrais vous faire suivre dans quelque temps et notamment des photos de scène. En substance, ce que nous pourrions dire de ce concert, c'est que si les COMPAGNONS DE LA CHANSON ont été trahis par les médias de tout poil, et souvent hélas par de "" soi-disant "" amis, ils sont restés dans le coeur de leur public et cette belle fête peut en témoigner.

    Jean CHARRAS




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  • Certains auront eu le grand plaisir de lire une partie de cet article dimanche dernier alors que sa lecture n'avait été programmée que pour aujourd'hui. Mais il en est ainsi des systèmes les plus élaborés qui soient. Parfois, comme chez l'ami VERRIER, ça déraille. Il suffit d'un petit peu trop de précipitation et d'une erreur d'aiguillage, d'un égarement du chef de convoi. Mais revenons, si vous le voulez bien, à l'essentiel...
     
    Vous n'avez pas encore retenu de chambre sur Annecy ou sur Cran Gevrier et vous venez de vous décider après moultes hésitations à vous joindre à nous pour cette nouvelle journée Compagnons à Cran Gevrier ?... Il n'est peut-être pas trop tard et puis, vous voulez que je vous dise, quand il s'agit des Compagnons, il n'est jamais trop tard ! Même si on tousse un peu ! Pour ceux d'entre vous qui ne l'avaient pas vu, nous avons édité un article il y a quelques semaines qui évoquait cette journée événementielle... Mais pour les retardataires, voici un lien qui vous permettra d'un seul clic d'éditer votre programme des réjouissances et ces quelques conseils sans lesquels ce court séjour ne laisserait pas un aussi bon souvenir...
    Si vous souhaitez d'autres renseignements à propos de cette journée, pas de problème, vous pourrez m'appeler ! Mes coordonnées téléphoniques figurent sur mon site d'éditeur et je me ferai un plaisir de vous renseigner. Enfin, et confirmation, il y aura sûrement, comme à Lyon, un repas le soir pris en commun pour ceux qui le voudront. Pourquoi d'ailleurs changerait-on d'habitudes ? Surtout quand elles laissent de tels souvenirs !...

    Ceux qui sont habiles photographes pourront aussi, s'ils le veulent, capter quelques souvenirs sur leur pellicule. J'ai le sentiment qu'il y aura quelques grands moments que l'on pourra diffuser sur ce site et sur celui de notre ami Claude VERRIER qui feront regretter à ceux qui ont préféré s'abstenir de ne pas avoir cédé au chant des sirènes...

    Louis PETRIAC


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  • Elle ne manquait pas de qualificatifs pour dire combien elle les avait appréciés, ALBERTE ! En cette fin des années soixante-dix, elle trouvait même que la présence scénique des COMPAGNONS de la CHANSON s'était enrichie et que leurs textes et leurs musiques collaient à une évolution toujours plus exigeante...

    Un bien joli papier qui donnait également un aperçu du public réuni à l'occasion de ce énième passage de nos amis à Saint-Etienne où, une fois de plus, le charme avait opéré : "Demain matin, quand le soleil va se lever, ils seront loin et nous croirons avoir rêvé..." C'était sans aucun doute l'avis de beaucoup de ceux qui avaient assisté à cette représentation dont Roger MANSUY, à l'époque encore adjoint du maire Mr. SANGUEDOLCE !


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  • L'article était paru au début des années soixante-dix, juste après la tragique disparition du regretté Guy BOURGUIGNON. Il était d'ailleurs rare à l'époque qu'un fait sortant de l'ordinaire et illustrant un des COMPAGNONS DE LA CHANSON ne soit pas décrit sous toutes les couleurs : départ de l'un d'eux, vacances d'un autre, pépin médical, distractions...
    C'est d'ailleurs de distraction dont il s'agit ici et de celle d'un personnage devenu essentiel pour la survie du groupe : Fred MELLA, Fred dont il était alors impensable d'envisager un accident ou une extinction de voix tant celle-ci a très longtemps constitué la matière première. On comprendra en lisant l'article combien il lui a fallu peser le pour et le contre avant de décider de se mettre au ski. Mais sans doute faut-il chercher dans le choix de cette pratique du ski de fond d'autres arguments et ce qui aura permis de si longues années à notre voix d'or de conserver ses dispositions vocales. Rien de tel pour se dégager les bronches et prendre du soufle reconnaissait notre soliste...



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  • C'est en grande partie grâce à elle si Jean-Jacques BLANC a pu aller au terme de ses recherches et nous livrer les éléments qui nous ont amené à consacrer un ouvrage aux COMPAGNONS DE LA MUSIQUE. Grâce à elle et à sa fille Christine DESSERTENNE qui disposait d'une montagne de documents (photographies et illustrations) nous avons effectivement pu faire revivre le temps d'un ouvrage ces hommes et ces femmes.

    Durant quelques années passées autour des futurs COMPAGNONS DE LA CHANSON, ils auront participé à une expérience et quelle expérience ! La mise en place d'un groupe d'expression scénique réalisée dans le giron des COMPAGNONS DE FRANCE. Du moins entre 1941 et 1944 avant que ces derniers ne soient dissous. Marianne CHASSOT faisait effectivement partie avec Odile MICHAL des premiers éléments et des premières Compagnonnes à avoir travaillé avec Jean-Louis JAUBERT, Marc HERRAND, Hubert LANCELOT et Jean ALBERT sous les directives de Louis LIEBARD chemin de Champvert à Lyon. C'était sans aucun doute l'élément féminin de référence qui lui vaudra même de figurer sur l'une des affiches promotion de la petite troupe. Elle quittera les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE après une mémorable tournée en Allemagne (printemps 1945) et ne sera donc pas de la seconde expédition de Ville-d'Avray. Les Lyonnais l'avaient revue en juin 1990 dans le quartier du Point du Jour où elle avait participé à la pose d'une plaque commémorative sur le portail du 10 de la rue de Champvert en compagnie de quelques anciens.


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  • Ils sont venus, ils sont tous là... Oui, à part Georgio le fils maudit, ils seront tous là ou presque... Il ne manquera que la mamma !... A coup sûr, les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE et ceux qui auront pu venir seront heureux de tous se retrouver ! Parfois même, longtemps après, car certains ne se sont pas revus depuis quelque temps déjà. Un demi-siècle, c'est long !

    D'ailleurs, à quand remonte leur dernière rencontre ?... Sans doute au moment des adieux des COMPAGNONS de la CHANSON entre 1982 et 1985 ! C'est dire si le temps a passé ! Guy BOUXIN qui n'a pu venir à cause de quelques ennuis de santé y pensera sans doute de son domicile de La Côte Saint-André, lui qui avait retrouvé une partie de ses anciens camarades sur scène (photo ci-dessous) au moment de leur tournée d'adieux de 1983. Roger MANSUY qui les avait retrouvés aux Célestins en 1982 à Lyon, aussi... Mais pour Roger, ce sera légèrement différent. D'abord parce qu'il reverra son ancien camarade Marc HERRAND ! Que d'années passées depuis leurs premiers succès rencontrés au sein des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE à Lyon et Ville-d'Avray ! Et notre Mimi ? Depuis quand n'a-t-elle pas revu en chair et en os l'un de ses premiers complices : Marc ? Combien de temps n'a-t-elle pas revu Brigitte, la femme de Jean BROUSSOLLE ?... Depuis Lyon en 2002 ? Il y aura indiscutablement quelques bien agréables retrouvailles le 25.10 et quelques embrassades aussi. Et tant mieux !


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