• Liébard, le scoutisme et ses Compagnons...

    Louis LIEBARD avec l'une de ses filles et son épouse.

     

    Cela n'avait jamais été dit ou du moins depuis fort longtemps et pourtant ! Pourtant, au départ, c'est grâce à des idéaux scouts qu'a pu voir le jour le vivier de talents de Louis LIEBARD à Lyon ! Parce qu'il était lui-même pénétré de l'idée qu'il régnait dans les années trente au sein du mouvement scout un idéal qui méritait d'être suivi. Il faut souligner que le scoutisme, à base de patriotisme, de foi religieuse, de respect de la famille, de corporatisme et d'élitisme, correspondait parfaitement aux idées qui avaient une certaine cote avant guerre. A tel point que certains responsables gouvernementaux de Vichy s'en inspireront pour promouvoir en juillet 1940 la création des COMPAGNONS DE FRANCE. Sans que l'on songe encore un seul instant aux dérives qui se sont ensuite produites et qui provoqueront le départ de beaucoup de responsables scouts qui estimeront avoir été abusés.

    Très croyant et attaché aux valeurs fraternelles et à l'humilité, LIEBARD rejoignait sur ce point l'idée qui avait été à la base même de la fondation du scoutisme par un militaire anglais, un certain Robert BADEN POWELL qui s'était très vite convaincu qu'il fallait faire appel à une pédagogie dont le but était d'apprendre aux jeunes à s'exprimer. Il fallait par exemple opter pour des rassemblements "feu de camp" qui souderaient les équipes lors des veillées et qui permettraient aux jeunes gens d'apprendre à se connaître et à s'estimer. Autour d'une éducation morale et virile propre à convenir à de futures élites, il fallait aussi s'attacher à vanter les vertus du plein air et de la nature comme outil de régénérescence sanitaire et morale. LIEBARD s'en inspirera à la villa du Point du Jour en instituant un mode de vie comparable avec strict respect de la hiérarchie, montée des couleurs le matin et aussi partage... de corvées !   

    Les scouts et leur élan de solidarité et d'entraide, LIEBARD y fera du reste appel en août 1940 lorsqu'emprisonné par l'ennemi il s'évadera à Nancy pour tenter de rejoindre les siens. C'est en effet grâce à des amis scouts qu'il a pu se procurer des faux papiers et qu'il a été en mesure de rallier Dijon puis Lyon. Lyon où, très vite, sous le nom d'emprunt de Pierre DALAY il se remettra au travail avec la réussite que l'on connaît. C'est également grâce à des gens comme SCHAEFFER, un polytechnicien, qu'il retrouvera un emploi chez JEUNE FRANCE puis grâce à DHAVERNAS et CRUIZIAT, des responsables gouvernementaux également issus du mouvement scout, qu'il bénéficiera des aides et des subventions utiles au montage de son projet de création de la villa du Point du Jour. 


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    les compagnons quel beau dimanche par rogermarti-rubio

     

    Nouvel extrait vidéo que nous avons récemment pu voir sur la page Facebook des amis des COMPAGNONS et que nous vous proposons à présent ici. Un extrait chargé d'émotion lui aussi car il voyait réapparaître cette fois-ci déguisé en COMPAGNON DE LA CHANSON l'un des anciens animateurs de Midi-Première : un dénommé GASTON. En ce mois de janvier 1973, chez Danièle GILBERT c'était effectivement pour le "fieu de Marcel CASSEZ" une première et quelle première !


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  • 'avc jean.paul.marc

    1946... C'étaient les débuts, l'époque du a capella et d'Edith, la Grande Dame...

     

    Certains critiques ont toujours eu un peu de mal à définir ce qui caractérisait les COMPAGNONS DE LA CHANSON qu'on s'est longtemps plu à opposer par exemple aux FRERES JACQUES. C'est vrai qu'entre chansons de charme et belles romances, les textes ont longtemps été importants. Du moins au tout début. Parce qu'ils avaient été composés par des pointures et qu'ils collaient parfaitement à un choral très au point où chacun savait ce qu'il avait à faire. Avec des réglages demandant parfois de longues semaines de répétition comme dans Le galérien afin que l'ensemble arrive, par exemple, à imiter le son des balalaïkas. Il suffit de réécouter des titres comme La Marie, Si tous les gars du monde, Les yeux de ma mère, Le prisonnier de la tour, Les cavaliers du ciel... etc... Sans oublier ces Trois cloches rythmant, entre union et disparition, la vie d'un village et celle d'un Jean-François Nicot bien de chez nous (devenu Jimmy Brown aux Etats-Unis et Gian Martino en Italie).

    Et puis, à la fin des années cinquante, avec la fin de la période a capella, l'aspect mélodieux prenant un peu plus d'importance rapport aux textes et à la poésie qui s'en dégageait, on a assisté aux envolées exceptionnelles d'un Fred MELLA au sommet de son art aidé par une voix chaude et des morceaux comme Verte campagne, L'arlequin de Tolède, Le refuge de tes bras, ... etc, etc...

     0.livrechristian-1Dans l'ouvrage hommage* de Christian FOUINAT publié sous notre label à la fin de l'année 2007, Jean-Pierre CASTAING un admirateur bordelais (1) revient avec justesse sur les trois époques qui ont, selon lui, caractérisé les quelque quarante années des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Il est vrai que conserver aussi longtemps les faveurs d'un public a demandé de savoir s'adapter, mais grâce à la créativité de trois hommes, cela a été possible. Parce que Marc HERRAND, Jean BROUSSOLLE et GASTON ont su réaliser des prodiges en matière d'arrangement. Le soulignera-t-on jamais assez ? Sans doute aussi l'osmose entre des individualités comme Jean BROUSSOLLE et Guy BOURGUIGNON, puis GASTON et Jean-Pierre CALVET a-t-elle également facilité les choses, sans oublier l'entente parfaite entre le mélodiste qu'était Jean-Pierre CALVET et un Jean BROUSSOLLE qui avait le flair pour se fondre dans les airs à la mode et en tirer des adaptations idéales.   

    Cerise sur le gâteau : les sketches. On a parfois dit que les Compagnons étaient à voir et à entendre et les multiples gags de Gérard SABBAT réglés de main de maître par Guy BOURGUIGNON, puis ceux d'un GASTON irrésistible ont largement contribué à l'aspect scénique de l'ensemble. Et ceux qui n'ont pas eu la chance de les voir sur scène se régalent aujourd'hui de découvrir ces productions terriblement bien agencées. Ne serait-ce qu'en revisitant ces créations grâce aux trop rares DVD réalisés (deux avec celui de Claude VERNICK sur la tournée des Compagnons au Canada sorti chez Lharmattan vidéo).

    N'en déplaise à leur premier mentor Louis LIEBARD qui s'en défiait, nous concluerons en disant que les COMPAGNONS DE LA CHANSON possédaient l'art du music-hall dans les tripes et dans ce qu'il a de meilleur ! Et c'est assurément Charles TRENET qui avait raison quand il affirmait qu'il aimait le music-hall "et ces grands garçons de la chanson, les Compagnons, ding, ding, dong"... 

     
    * Les Compagnons de la Chanson : des marchands de bonheur, allez savoir pourquoi 
    (1) également auteur ici de certains billets d'humeur à connotation humoristique 

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  • 30 décembre 1969 au matin... C'est le drame !

     

    30 décembre au matin... La nouvelle tombe sur FRANCE INTER, et sur nombre d'autres radios également ! Vous ne pouvez avoir oublié cette annonce que nous vous reproposons d'écouter. Si du moins votre transistor de l'époque était branché sur les ondes de FRANCE INTER : FRANCE INTER - 30.12.69 - Décès Guy Bourguignon.mp3 


    Nous venions de perdre un ami car Guy, l'un des premiers COMPAGNONS DE LA CHANSON, était notre ami à tous. Parfois un peu bougon, ce don Juan à ses heures nous a ensuite beaucoup manqué. "Notre dents de lapin" comme l'avait surnommé Lolo JAUBERT, on était habitués à le voir en première ligne, souvent avec tout son barda de reporter. De reporter oui car c'était lui qui prenait toutes les images bonnes à exploiter. Ses amis et partenaires ne le remplaceront d'ailleurs pas et ils proposeront à son épouse Paulette de continuer à lui verser le neuvième du cachet que Guy percevait jusqu'alors. Et puis, il y a cet hommage de Jean BROUSSOLLE qui suit ces quelques lignes... Il parle de lui-même et ajoutera au désarroi de Jean ! Son fils aîné Jacques se souvient encore avoir veillé son père à l'Hôpital Foch de Suresnes au cours des toutes dernières journée et "Maman ATOU" la grand-mère préférée de Guy, qui avait fêté son centenaire à Périgueux, l'été précédent, fermera les yeux à son tour en apprenant la disparition de son petit-fils adoré. 
      

     

    texte-J-Broussolle-sur-Guy.jpg 


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  • 122) Gérard dans Le clown et l'enfant triste 

    « Mes Compagnons, vous me manquez, et je vous écris car en ce moment j’ai besoin de vous. Je ne veux pas de réponse, mais j’ai besoin de vous moralement, de votre présence invisible, des fils qui se sont tissés entre nous malgré les heurts ou les désaccords, bien dérisoires aujourd'hui. Ce que je viens chercher auprès de vous, c’est cette chose impalpable qui nous a unis tous, depuis quarante ans. Et je ressens mieux maintenant cette richesse qui a été la nôtre et que nous avons gagnée au fil des ans sans nous en apercevoir... J’ai cru un moment trouver quelque chose de similaire, mais rien ne ressemble à mes Compagnons ! Le spectacle était notre joie de vivre, nous étions Compagnons. Mais Compagnons, nous l’étions aussi en sortant du théâtre, en dînant, en partant en vacances… Partout, à tout moment, nous avons été Compagnons ! C’est là la différence avec tous les autres gens du théâtre, et cela, rien, jamais, ne pourra l’effacer… Voilà mes Compagnons de toujours, je n’avais pas besoin de vous le dire par le passé : votre présence effective rendait tout discours inutile. La seule chose que je regrette, c’est de ne plus être parmi vous, mais je me dis aujourd'hui que, grâce à vous, j’ai réussi ma vie…»

    A lire cette magnifique lettre  touchante d'émotion adressée à Hubert, leur historiographe, quelques mois avant que ce dernier entreprenne de mettre en pages leur fabuleuse épopée dans Nous les Compagnons de la Chanson, on découvrait alors un Gérard SABBAT quasiment inconnu de beaucoup. Un Gérard qu'il aurait été impossible à Hubert de cacher plus longtemps, ce qui justifie ce choix d'intégrer ce document à cette biographie. Avec ces quelques mots, on découvre un Gérard qui regrettait cette fin d'aventure prodigieuse des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Certes, on avait bien eu un aperçu de cette propension à émouvoir lorsque, déguisé en clown triste (photo ci-dessus), il lui était arrivé de s'illustrer dans un registre opposé à celui qu'il se plaisait à afficher en temps ordinaire. Notamment depuis le départ du P'tit Rouquin Jean ALBERT ! Mais cette lecture nous fait regretter encore plus sa disparition survenue trop tôt car, entre malice et tendresse, l'homme nous aura régalés jusqu'au bout avec sa complicité et ce sourire espiègle que nous aimions tant.

     


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  • - Les compagnons de la chanson - "" la Mouche "" par dividu  

    Les COMPAGNONS DE LA CHANSON dans une de leurs interprétations à contre-emploi assez loin de leurs autres productions et, pour l'occasion, assez FRERES JACQUES avec ici, s'il vous plaît, une tenue vestimentaire qui ne dépareillait pas avec cet exercice difficile. Beaucoup d'admirateurs des BELLEC, SOUBEYRAN et TOURENNE ont dû y penser et les supporteurs du regretté Gérard SABBAT reverront avec plaisir les grimaces préférées de leur gone de coeur ! Une composition magistrale de GASTON qui donne un aperçu du talent de musicien averti qui lui a valu de devenir à son tour COMPAGNON fin 1972.

    On notera tout de même que cette Mouche est empruntée au répertoire du célèbre musicien russe Rimsky KORSAKOV (vidéo ci-dessus) qui s'était illustré avec un bourdon aussi désagréable que l'était la mouche de notre ami GASTON ! Et que les CINQ PERES en dignes successeurs des COMPAGNONS DE LA MUSIQUE avaient interprété un Vol du bourdon


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  • -- les compagnons de la chanson (1961-n&b... par trizone

     

    Autre déclinaison des rythmes latino-américains qui auront trouvé à partir de la fin des années cinquante, et grâce à Jean BROUSSOLLE, leur place dans le répertoire des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Avec ce La marmite qui, tout comme Si tu vas à Rio, sera interprété par Dario MORENO. Un extrait rediffusé voici quelque temps par la chaîne câblée MELODY. Il y aura par la suite d'autres adaptations comme cet Amour brésilien qui figurera dans un microsillon devenu célèbre avec un autre titre phare, celui des Comédiens. Ou Carioca mon ami sorti en 1959. 


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    Nicolas FURNO et Vincent MIGNAULT appartenant à la Compagnie "JE SUIS TON PERE", sont deux admirateurs de Georges BRASSENS dont il est inutile de rappeler, ici, quels liens l'unissaient aux COMPAGNONS DE LA CHANSON et plus particulièrement à Fred MELLA. Or, c'est justement d'amitié dont il s'agit avec le spectacle que les deux admirateurs s'apprêtent à monter au Guichet Montparnasse, à Paris, dans le XIVè. Un endroit situé du reste à quelques centaines de mètres de l'impasse Florimont où notre regretté poète s'est construit après guerre aux côtés de complices comme Jeanne et Marcel PLANCHE, lesquels deviendront dans un cadre des plus austères, des personnages essentiels de l'existence que Georges BRASSENS s'était choisi et chez lesquels il s'était réfugié durant la guerre pour échapper au STO.   

    affiche Toussenot hommage à BrassensCe spectacle qui s'inspire de l'amitié que Georges avait nouée avec un philosophe contestataire : Roger TOUSSENOT, les amène à évoquer l'initiative de leur Compagnie JE SUIS TON PERE qui proposera à partir du 9 janvier prochain et jusqu'au 28 mars une lecture de quelques-unes des lettres que Georges BRASSENS a écrit à son ami. Un ami auquel il disait "Tu est l'ami du meilleur de moi-même". Bien avant de devenir l'auteur à la mode qu'il est ensuite devenu, notamment après la sortie du Gorille. En témoignage de cette amitié que Georges éprouvait pour TOUSSENOT, il lui avait écrit en 1948 une lettre qui disait ceci : "Deviens l'artisan de ton âme, le musicien de ton silence, l'écrivain de ton génie..." sans doute pour l'encourager à poursuivre les travaux auxquels il s'était attelé. Alors que la guerre ne lui avait pas permis de poursuivre ses études. Roger TOUSSENOT né à Lyon en 1926 dans une famille modeste se passionnait effectivement pour tout ce qui touchait au savoir et ce sont surtout leurs convictions libertaires qui vaudront aux deux hommes d'échanger ensemble bien des idées. Sensibilisé très tôt à la politique et au syndicalisme, l'appétit de savoir de TOUSSENOT était tel que jamais il ne cessa d'approfondir ses connaissances. De SOCRATE à BERGSON en passant par DESCARTES et SPINOZA, de VILLON à Paul FORT en passant par RACINE et Victor HUGO, il entreprit d’écrire des Fragments, restés dans leur état et jamais publiés, pour revenir à des emplois obscurs de fonctionnaire. Avant, hélas, de renoncer à vivre. C'était en 1964.

    Si, amis internautes, vous vous passionnez pour ce qu'a laissé Georges BRASSENS, n'hésitez pas à assister à ce spectacle. Ce sera certainement le gage d'assister à un moment exceptionnel qui vous permettra qui sait ?, de découvrir d'autres facettes cachées de ce grand poète. Le prix de la place a été fixé à 20 € et il sera remis à chaque spectateur une affiche dédicacée.  

     


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  • couv Comp Musique avec Meyer, Jaubert, Herrand et Albert

    Certains d'entre vous en reconnaîtront quelques-uns sur cette photo ci-dessus et d'autres aucun, mais qu'importe ! Cependant, rassurez-vous, si vous n'en n'avez reconnu aucun, la réédition de l'ouvrage à paraître consacré aux COMPAGNONS DE LA MUSIQUE vous aidera en levant le voile ! Il est vrai que l'exercice est particulièrement difficile et que nous nous devions bien de vous aider.

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    Ainsi, sur cette photo prise en 1942 juste avant l'arrivée d'Hubert LANCELOT à la Villa du Point du Jour à Lyon, n'y avait-il que trois des premiers COMPAGNONS DE LA CHANSON auxquels Louis LIEBARD avait proposé de rejoindre les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE dès 1941. En regardant bien, vous reconnaîtrez certes difficilement Jean-Louis JAUBERT qui s'appelait encore à l'époque Louis JACOB et qui n'avait pas encore perdu tous ses cheveux. Il est en haut et à droite du groupe qui avait été photographié. En revanche, l'un à côté de l'autre au premier rang, Jean ALBERT et Marc HERRAND sont, eux, plus faciles à distinguer. Certes, lorsque nous avons eu à choisir un cliché assez représentatif de ce qu'étaient les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE et susceptible de pouvoir être sélectionné pour la réédition que nous préparons, notre choix s'est-il porté sur cette photographie. Parce qu'elle a un autre avantage, celui de montrer Louis LIEBARD au milieu de ses premiers élèves masculins et de ses premiers adjoints : MEYER et HERMANN. MEYER l'Alsacien, baryton de son état, qui aura quasiment été le cofondateur de ces COMPAGNONS DE LA MUSIQUE et Roger HERMANN, l'une des basses de l'ensemble au départ qui était de confession juive et qui, un jour de 1942, apeuré par l'arrivée des Allemands en zone non occupée, a préféré "mettre les voiles" en laissant son épouse bénéficier du cadre rassurant de la maison Chomel du chemin de Champvert.

    Pour réserver cet ouvrage et bénéficier de l'offre de pré-vente avant le 1er décembre, cliquez ici !

    ILS ETAIENT COMPAGNONS DE LA MUSIQUE, Jean-J. BLANC, Réédition, ISBN n° 978-2-918296-32-4


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    Ils sont plusieurs groupes à s'être créés soucieux de rendre hommage aux COMPAGNONS DE LA CHANSON et à chaque fois que cela nous est possible nous évoquons leurs initiatives comme cela a longtemps été le cas avec le groupe lyonnais des BAYARD ou le groupe des JOYEUX COMPAGNONS de notre ami Jean CHARRAS qui a dû, hélas, mettre un terme à ses activités, voire encore avec LES MARCHANDS DE BONHEUR de Jean-Louis ROPERT qui sont installés dans le Jura.

    Sybille, qui suit méthodiquement les déplacements des MARCHANDS DE BONHEUR, vient de l'annoncer sur son blog, ceux-ci se produiront en spectacle à l'approche des fêtes de fin d'année. Ils avaient eu l'occasion juste avant que notre ami Fred MELLA ne cesse de chanter de bénéficier de son soutien et nous l'avions évoqué ici en revenant sur le spectacle qu'ils avaient donné en novembre 2011 à cette occasion (extrait vidéo ci-dessus). Comme il n'est jamais inutile de répéter d'un espace à l'autre ce qui se prépare dans la mouvance des COMPAGNONS DE LA CHANSON, c'est avec joie que nous leur consacrons cet entrefilet. D'autant que le groupe des fidèles des COMPAGNONS prépare la sortie d'un CD :"Les Marchands de bonheur chantent Noël" qui sera présenté ce soir à la mairie d'Ornans (39). A noter que sur chacun des CD vendus sera prélevé 1 € qui sera reversé au profit de l'association FRANCE ALZHEIMER.

      


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