•   
    L'interview de Jean-Louis par Martine Chardon...
     
    Dans une émission A TOUT COEUR diffusée sur Antenne 2 en mai 1983, au moment du passage des COMPAGNONS DE LA CHANSON à l'Olympia, l'ancienne speakerine Martine CHARDON revenait sur leur carrière avec un invité de marque : Jean-Louis JAUBERT.
    Une demi heure d'entretien ponctuée de quelques extraits de chanson qui vous rappelleront un moment intéressant. Evoquant la sortie du film de Claude LELOUCH consacré à leur Grande Dame : Edith et Marcel, Jean-Louis aura ce commentaire très avant-gardiste, estimant que ce film, certes excellent, était venu trop tôt parce que beaucoup avaient encore Edith PIAF dans un coin de leur mémoire.
     
    Un grand merci à notre ami Bruno MALLET qui a pu se procurer cet enregistrement exceptionnel.

    votre commentaire
  • sans-broussolle-et-bourguignon.jpg

    Pour la toute première fois depuis sa création en 2007, volant de records en records, la fréquentation de cet espace a continué à progresser. Et même très fortement d'un mois à l'autre. Si notre objectif du mois dernier était d'atteindre les 5 000 visiteurs sur un mois, ce qui était déjà considérable après les 2.500/3.000 atteints jusqu'en octobre, nous en sommes aujourd'hui à une fourchette de 6 à 7.000/mois (8.700 à ce jour après un début décembre époustoufflant). Des données qui sont à rapprocher de la fréquentation du nombre d'adhérents enregistré par notre ami Bruno MALLET sur sa page Facebook des "Amis des Compagnons", puisque le nombre de ceux-ci vient de s'apprécier en quelques jours de 10% à près de 700 !

    Après deux ou trois mauvaises années dues à un plafonnement de la fréquentation, il semblerait bien que nous soyons entrés dans une nouvelle période euphorique comparable à celle vécue au cours des années 2007 et 2008. Deux années où pendant quelques semaines (2008) nous avions atteint les 5.000 visiteurs/mois. Cela va incontestablement profiter à nos initiatives et à notre objectif d'entretenir cette mémoire COMPAGNONS DE LA CHANSON à laquelle nous sommes tant attachés. Et c'est extrêmement motivant pour nous chers amis ! 


    votre commentaire
  • couverture promotion bandeau 

    Nous lui avons déjà consacré plusieurs articles depuis le début du mois de septembre et nous sommes en mesure de vous confirmer que les premiers ouvrages que vous avez réservés nous parviendront le 15.12 prochain. Nous serons donc en mesure de vous les expédier dès le lendemain, mardi 16.12. Voilà une idée de cadeau de Noël fort originale ! Vous savez ce qu'il vous reste à faire, surtout si vous vous intéressez aux fondements de la création des COMPAGNONS DE LA CHANSON et à la destinée de leurs premiers partenaires dont certains auront connu d'autres prolongements moins heureux !

    Avec le concours de toute une équipe de gens passionnés par cette épopée aux accents mythiques, ce travail signé Jean-Jacques BLANC a, cette fois-ci, bénéficié d'un plus large échange puisqu'aux familles GUERRIER/CHASSOT et MANSUY auxquelles nouis devons le premier ouvrage, ont collaboré les familles MEYER et LIEBARD. Il n'est pas inutile de préciser que cette réédition sera proposée avec un bandeau signalétique (voir ci-dessus) qui met l'accent sur l'initiative d'un créateur qui n'a pas été associé, soulignons-le tout de même, aux deux manifestations lyonnaises organisées en 1990 et 2002.

    ILS ETAIENT COMPAGNONS DE LA MUSIQUE, Jean-Jacques BLANC, 242 pages - 24,90 € + Port éventuel 


    1 commentaire
  •  

    Une très belle chanson de 1963 due encore une fois au talent de Jean BROUSSOLLE que notre ami Bruno MALLET s'est amusé à greffer sur des images de ce poète qui pleurait. Il aurait été dommage que vous n'en bénéficiiez pas ! Un très bel hommage à ce poète seul au monde qui souffrait les derniers temps loin de sa Camargue d'adoption !


    1 commentaire
  • Un nouveau montage remarquable de notre ami Bruno MALLET qui s'inspire d'une émission diffusée au moment des adieux des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Un document qui se laisse voir. Vous allez une nouvelle fois vous régaler.


    votre commentaire
  • La Chance aux Chansons par verclaud


    Pour ceux que Facebook indispose toujours autant, voici proposé par notre ami Claude VERRIER sur la page des amis des Compagnons de Bruno MALLET, un extrait vidéo de l'émission de Pascal SEVRAN : La chance aux chansons. Avec quelques mesures d'airs qui n'ont pas pris une ride comme Allez savoir pourquoi, Bras dessus bras dessous, Vénus, Si tu vas à Rio...


    votre commentaire
  • Un entretien très instructif qui nous donne une idée de l'ingéniosité qui caractérisait Paul BUISSONNEAU décédé en fin de semaine dernière après une longue maladie. Dans cet entretien récent accordé à un média québécois, l'ancien COMPAGNON DE LA CHANSON parlait de sa roulotte. Un document intéressant !


    votre commentaire
  • Capxturef-copie-1

    Avec Piaf, à droite de la photo, juste devant Jean Albert... Paul Buissonneau

     

    Alors que le Québec est en deuil à la suite de la disparition de Paul BUISSONNEAU, il n'est peut-être pas inutile de revenir sur le passage au sein des COMPAGNONS DE LA CHANSON de celui qui est longtemps resté le P'tit Paul. Un surnom que lui avait donné Edith PIAF au moment où le groupe s'apprêtait à enregistrer Les trois cloches dans un vieil entrepôt du XIIIème arrondissement avec les moyens du bord. Christian FOUINAT et Louis PETRIAC reviennent dans leur biographie sur cette journée de juillet qui avait nécessité plusieurs prises avant de pouvoir parvenir à graver le 78 tours de l'un des premiers grands succès du groupe. Il est vrai qu'en ce début d’été 1946, chacun se demandait encore, avant l'arrivée de Paul, comment allait être enfin résolu le dilemme posé par le remplacement de Jean DRIANT qui n'était resté Compagnon que quelques semaines. C'est grâce aux conseils d'un certain René LAMOUREUX, ancien COMPAGNON DE LA MUSIQUE qui connaissait bien celui dont il va être question, que le nom de Paul BUISSONNEAU sera pressenti pour intégrer l'ensemble.

    Buissonneau-de-nos-jours.jpgNé en 1924, une veille de Noël, dans un quartier pauvre de Paris, d’abord présenté comme un gentil garçon étourdi et rêveur peu attiré par l’école, avec une créativité à tout instant au bord de l’explosion, il était impossible d'imaginer que, sous une apparence famélique, puisse se cacher le caractère bien trempé d'un homme, caractère qui n’éclatera que quelques années plus tard. Au moment de son entrevue avec JAUBERT et HERRAND, ce qui était sûr en tout cas, c'est que l'intéressé n'aspirait qu'à être mieux qu'il ne l'avait jamais été durant une enfance où, privé très jeune de sa mère Andréa et de son père trop tôt disparu, il devait trouver de quoi faire bouillir la marmite de la maisonnée. Et ce dont il avait fini par se persuader, c'est que cette entrée chez les COMPAGNONS DE LA CHANSON c'était l'assurance, pour lui, de faire quelque chose d'un peu plus passionnant que ce qu'il avait envisagé tout d'abord faire en cet été 1946. Ne serait-ce qu'avec cette implication dans la chanson animée et les nombreux sketches figurant au répertoire d'un ensemble dont on commençait à parler de' plus en plus grâce à l'entregent d'Edith !

    A l’issue d’une audition qui passe toujours pour avoir été l’une des plus brèves de la Chanson française, les choses avaient été très vite ! Une audition pour le moins originale menée à la terrasse parisienne d'un café dont doit encore se souvenir notre maestro de coeur : Marc HERRAND Le parcours de l’inconnu qu’était encore Paul en ce début d’été avait même de quoi surprendre s’il ne s’agissait pas de passion et de ce qu’elle peut suggérer chez certains de ceux qui n’ont pas été particulièrement gâtés par l’existence. Et l'ami Paul faisait partie de ceux-là car on ne peut pas dire qu'il avait été gâté par dame Chance ! Alors, entrer chez les COMPAGNONS DE LA CHANSON, n'était-ce finalement pas là synonyme pour lui de vengeance sur le sort ? Allez savoir... Sans qu’il se soit demandé un seul instant s’il était vraiment l’homme de la situation et s’il avait envie de devenir ce que l’on attendait qu’il devienne, Paul y était allé, lui qui n’aspirait pourtant qu’à devenir comédien, metteur en scène ou créateur après avoir tâté du mime ! « A mon entrée chez les Compagnons, avait-il souligné lorsque Louis PETRIAC l'avait eu au téléphone au moment de la sortie de Entre mythe et évidences, j’avais déjà des connaissances de régisseur de théâtre et d’homme de spectacle ! J’avais acquis quelques connaissances en m’intéressant aux Comédiens Routiers de CHANCEREL !... » Tout comme Guy BOURGUIGNON, serait-on tentés de préciser. Et c'est justement là que l'histoire étonne avec ces deux hommes qui étaient faits pour être des complices et qui finiront par s'opposer… Paul deviendra d’ailleurs lui-même metteur en scène quelques années plus tard au Canada, et quel metteur en scène ! Avec ce Théâtre de Quat'sous qui restera comme une prodigieuse réussite !

     


    votre commentaire
  • 0.article-paul buissonneau (2)

    Le P'tit Paul de l'époque PIAF (1946-1948) et des premières déclinaisons des Trois cloches vient de disparaître à 87 ans laissant son pays d'adoption : le Québec bien triste. La dépêche vient de nous parvenir au cours de la nuit que nous traiterons demain en consacrant à ce COMPAGNON DE LA CHANSON de la première heure un article sur cette disparition. Paul BUISSONNEAU allait avoir 88 ans !

     


    votre commentaire
  •  

    Margoton va-t-à l'iau par verclaud

    Cette Margoton qui nous rappelle quel était le talent de COMPAGNONS DE LA MUSIQUE appelés à devenir en février 1946 COMPAGNONS DE LA CHANSON illustre tout à fait pourquoi nous avons décidé en août dernier de rééditer l'ouvrage de Jean-Jacques BLANC que nous avions publié voici un peu plus de six ans et consacré aux COMPAGNONS DE LA MUSIQUE.

    Avec, pour cette réédition, un avantage et non des moindres, celui d'avoir pu travailler en collaboration avec la Famille LIEBARD et avec la Famille MEYER pour que l'on comprenne, encore mieux, ce qui avait prévalu en octobre 1941 quand Louis LIEBARD, aidé par Maurice MEYER avait créé un vivier de talents exceptionnel ! Avoir accès à des informations que nous ne possédions pas en 2007 donne à ce travail une toute autre couleur. Si ceux d'entre vous qui n'ont pas encore eu l'occasion de le faire, voulaient réserver cet ouvrage de 240 pages, sachez qu'ils peuvent toujours le faire. En cliquant cependant sur ce nouveau lien, l'offre de pré-vente à 23 € n'étant plus d'actualité depuis hier. 


    votre commentaire