• Chacun de ceux d'entre vous qui ont eu le plaisir d'assister à une représentation des COMPAGNONS DE LA CHANSON au début des années soixante aurait pu le croiser au hasard des quelques camions chargés du transport de tout le matériel de scène nécessaire. Pierre DAVOUDJAN que Marianne, l'assistante de Jacqueline JOUBERT, interviewe ici pour les besoins de l'émission A BOUT PORTANT a été le premier à avoir en charge tout le matériel dont avaient besoin les COMPAGNONS lors de leurs tournées dans l'hexagone planifiées par le dénommé Marcel CHANFREAU. Avec le concours du jeune Serge LOISEL et avant, un peu plus tard, l'arrivée du demi-frère de ce dernier : Patrice qui est aujourd'hui maire d'une petite localité. Serge et Patrice (en photo ci-dessous) seront d'ailleurs du voyage au Japon qui leur permettra en 1979 de les y accompagner.

    Pierre Davoudjan, le pilier des tournées Chanfreau


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  • La page Facebook de Jean-Pierre Calvet...

    Ce n'est plus un secret pour personne, la plupart des chanteurs ou leurs proches ont aujourd'hui leur page Facebook. Jean-Pierre CALVET, à l'initiative de son fils Stéphane, a donc la sienne où l'on peut retrouver quantité de témoignages et de photographies évoquant l'ancien petit Marchand de bonheur de Menton.

    Si vous aussi vous avez envie de vous rendre sur cette page, cliquez sur ce lien. Vous ne le regretterez pas.


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  • Pour son ami Georges, Fred MELLA était GALOPIN. Une longue amitié unissait les deux hommes qui profitaient souvent d'un court entr'acte pour se retrouver dans l'une des propriétés des deux amis pour y faire la fête avec quelques autres complices comme Raymond DEVOS, Maurice BIRAUD, l'écrivain NUCERA ou Lino VENTURA. Avec les COMPAGNONS DE LA CHANSON, Fred participera chez Jacques CHANCEL à un Grand Echiquier inoubliable qui les verront interpréter quelques-uns des succès de Georges.

    Comme il l'a écrit dans ses Maîtres enchanteurs paru chez Flammarion en 2006, la disparition de Georges sera un moment pénible à vivre. En hommage à son ami poète, Fred MELLA inclura jusqu'en 2012 sur la fin de ses derniers tours de chant quelques-uns des succès de BRASSENS comme Fernande ou L'arc-en-ciel d'un quart d'heure. Juste histoire que l'on se souvienne qui était le poète et quels étaient les liens d'amitié qui iunissaient les deux hommes.


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  • Voici une chanson de Charles AZNAVOUR et de Jacques PLANTE qui, contrairement à quelques autres, n'a jamais fait la carrière qu'elle aurait pu faire. Elle figurait pourtant sur un 30 cm* qui aura permis à certains d'entre nous de découvrir longtemps après des titres comme celui-là. Avec d'autres pépites comme Moisson, Mes jeunes années, Moulin rouge, Comme un p'tit coquelicot, Le galérien, Gondolier...

    Créée en 1957, elle sera interprétée par les COMPAGNONS DE LA CHANSON un an plus tard ainsi que par quelques autres pointures de la Chanson française comme Henri SALVADOR...

     

    * Les meilleures années des Compagnons de la Chanson


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  • Tous les clips Les Compagnons De La Chanson

    Nos remerciements à notre ami Michel CORAILLER pour avoir été à la pêche et avoir attiré notre attention sur une page de JUKE BOX et sur un enregistrement de Vénus réalisé par les COMPAGNONS DE LA CHANSON en 1959. Une chanson due une fois encore à une adaptation magnifique de Jean BROUSSOLLE qui seyait ô combien au timbre sans défaut de Fred MELLA. Il sortira d'ailleurs sur le même super 45 tours microsillon que Le marchand de bonheur, La guitare et la mer et Carioca mon ami.

    Encore un hit venu d'ailleurs et qui était interprétée par un certain Frankie AVALON, celui qui interprétait déjà la version initiale de Nathalie s'en va !


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  • Marc HERRAND en bas à gauche, de la personnalité jusque dans les chaussettes !

     

    Dans le portrait que lui a été consacré à l'été 2014, Marc HERRAND revient sur son départ des COMPAGNONS DE LA CHANSON. Conscient que sa démission entraînerait une réorganisation de l’ensemble, Marc HERRAND mit cependant un point d’honneur à faciliter celle-ci. En recopiant par exemple au propre toutes les harmonisations des chansons et en acceptant même de continuer à travailler pour les COMPAGNONS parallèlement aux engagements nouveaux qui étaient les siens aux côtés d’Yvette GIRAUD. Puis en proposant à Jo FRACHON d’apprendre l’accompagnement de Mes jeunes années à la guitare ou en aidant Guy BOURGUIGNON à s’essayer à l’accordéon pour qu’il puisse y faire appel dans Les yeux de ma mère. Sans oublier, un mois plus tard, de faire en sorte que Fred MELLA puisse commencer à donner à sa place le ton sur scène. Il avait d’ailleurs déjà pensé différer son départ à cause du service militaire de Gérard SABBAT.

    Le titre Je crois en toi traduit de l’anglais I believe dû à DRAKE, GRAHAM, SHIRL et TILLMANN démontre d’ailleurs quel était l’état d’esprit de celui qui avait été leur chef de musique au cours de ces premières années si importantes pour eux tous. Avant que Jean BROUSSOLLE en écrive les paroles françaises en 1953 et qu’il en réalise l’adaptation, Jean-Louis JAUBERT viendra d’ailleurs à son domicile de Louveciennes lui demander de les aider à réaliser un nouvel arrangement du succès américain que les COMPAGNONS DE LA CHANSON avaient choisi d’inscrire à leur répertoire. Ce qu’il fera bien volontiers soucieux de montrer quel était son souhait de coopération. Difficile d’être plus élégant !

    Le jeune chef de musique harmonisera par exemple, en mai 1953, un autre titre et acceptera de participer à une nouvelle séance d’enregistrement de Je crois en toi en octobre de la même année, la précédente maquette n’étant pas bonne. Et tout cela, sans jamais être rétribué sur la vente des disques. Au point qu’en mai 1954, il finira par jeter l’éponge, mettant un terme à cette prestation par un télégramme expédié de Beyrouth. Il s'en est expliqué.

    " J’étais blessé, mais pas rancunier, dira Marc. Je me revoyais à Beyrouth en ce mois de mai 1954, repensant à ce qui s’était passé à Lyon au Théâtre des Célestins en 1952, deux ans plus tôt... Je me demandais comment ces mêmes Compagnons, qui m’avaient dit à ce moment-là qu’ils n’avaient plus besoin de moi, considéraient maintenant que c’était tout à fait normal que je continue de leur écrire des harmonisations et que je dirige les séances de mise au point. Alors que j’avais déjà beaucoup de travail comme pianiste et orchestrateur d’Yvette ! La veille de nos retrouvailles aux Célestins, en ce Printemps 1952 Yvette avait dû honorer un contrat à Périgueux et nous avions roulé toute la nuit pour être au rendez-vous prévu le lendemain pour 14 heures à Lyon. Avant de les quitter aux Etats-Unis, j’avais effectivement proposé aux Compagnons de rester avec eux le temps que Jean BROUSSOLLE soit prêt. Or, depuis mon départ de New York, je n’avais plus reçu une seule nouvelle d’eux. A 14 heures, je me rendis donc au théâtre et trouvai les Compagnons sur scène. S’approchant de moi, Guy me dit aussitôt, et sans ménagement, que ce n’était pas la peine que je reste et qu’ils n’avaient plus besoin de moi. Vous imaginez quelle fut ma peine et la surprise qui fut la mienne de devoir encaisser une telle réflexion. Surtout de la part de Guy. Yvette me raisonna, en me disant que les Compagnons étaient encore sous le choc de mon départ et qu’ils me faisaient payer la panique qu’ils avaient ressentie le jour de ma démission deux mois plus tôt. Mais je n’imaginais pas un seul instant que cet ostracisme à mon égard durerait des décennies...".

    Effectivement, en mars 1952, Marc aurait été prêt à faire n’importe quoi pour ne pas paralyser le groupe qu’il avait largement contribué à mettre en place. Et donc, même à chanter avec les Compagnons au Théâtre des Célestins à Lyon à leur retour des Etats-Unis à la place de Jean BROUSSOLLE, si celui-ci n’avait pu être en mesure de se produire après son accident de cheval aux U.S.A ! Puisque cinq soirées de concerts avaient été prévues ! Mais Jean s’était bien intégré à l’équipe à un point tel que l’affiche lyonnaise devint : Première partie : Yvette GIRAUD accompagnée par Marc HERRAND. Deuxième partie : Les COMPAGNONS DE LA CHANSON.


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  • Frère entends-tu ?Enregistré par Fred MELLA au début de sa carrière solo débutée en 1986, ce Frère entends-tu issu d'une complainte paysanne magnifié par un certain G. COLONGES est resté méconnu d'un grand nombre de ceux qui sont restés fidèles aux COMPAGNONS. Ce qui est fort dommage.

    Le titre a fait l'objet d'un enregistrement de CD sorti en 1989 appelé Mes fidélités. Un CD dans lequel on peut retrouver quelques autres titres dont certains que Fred avait chanté avec les COMPAGNONS DE LA CHANSON au cours des premières années avec un emprunt au répertoire de son ami Georges BRASSENS. Soit au total onze titres : L’arc en ciel d’un quart d’heure, Les Copains, Mes jeunes années, C’est l’Italie qui chante en moi, La vie heureuse, Je chante pour ceux qui s’aiment, Les trois cloches, Ce fut un merveilleux temps, Mon Ave Maria, Ma fidélité.

    Ce CD est toujours en vente, au prix de 24 €.  


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  • 6 août 2007, cela fait huit ans déjà ! Que le temps passe vite !

    Sous le titre : « FAN ABSOLU DES COMPAGNONS DE LA CHANSON », le Dauphiné Libéré venait de consacrer un article à la sortie de l'ouvrage de Christian FOUINAT que nous finalisions. Un article très bien présenté et qui expliquait de quelle façon le projet avait pris corps profitant d'un rassemblement à Lyon. Autour de l'inauguration d'une place devenue célèbre ici. Il nous avait comblés avec l'auteur car il jetait un pont vers notre site et l'opération que nous préparions pour octobre/novembre. Ce qui changeait également dans la donne, c'est que nous savions désormais pouvoir compter sur une grande partie des Compagnons eux-mêmes puisque Jean-Louis JAUBERT venait d'accepter, à son tour, de préfacer l'ouvrage et de nous adresser quelques lignes de soutien. Et, au-delà de l'émotion ressentie, nous parlions de notre plaisir renouvelé de l'avoir eu au téléphone d'autant que nous savions qu'il n'avait pas Internet et qu'il lui était difficile de rester informé de ce qui se passait sur la toile !

    Cela étant, nous nous étions efforcés de lui adresser une grande quantité de nos articles et de vos témoignages sur le Livre d'Or. En demandant à tous les admirateurs de continuer à déposer des commentaires sur le livre d'or du site musical de l'ami Claude VERRIER... 


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  • octobre 2002... L'inauguration de la place des Compagnons à Lyon

     

     

     

     

     

     

     

    Notre ami Bruno MALLET vient de verser sur sa page Facebook une vidéo qui ravira ceux d'entre vous qui avaient pu assister à cette magnifique inauguration à Lyon. Une journée d'octobre inoubliable pour tous ceux qui ont aimé et aiment toujours les COMPAGNONS DE LA CHANSON. Ce sera aussi l'occasion de retrouver sur cet extrait certains visages hélas disparus depuis : celui de Jean-Louis JAUBERT, de Gérard SABBAT, de l'éditeur Jean BOEKHOLT et de quelques autres qui nous sont restés chers.

    Une vidéo que nous avons voulu coupler avec certaines des photos conservées par Bruno SABBAT, le frère de Gérard. Ceux qui n'avaient pu assister à cette fête fantastique éprouveront sans doute quelques regrets et nous en connaissons beaucoup qui n'avaient pu être prévenus faute d'une couverture suffisante des médias. Ce qui extrêmement regrettable !

    octobre 2002... L'inauguration de la place des Compagnons à Lyonoctobre 2002... L'inauguration de la place des Compagnons à Lyon

     


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  • L'un des derniers grands succès de Jean BROUSSOLLE et de Jean-Pierre CALVET produit chez le label Polydor. Juste avant que les COMPAGNONS DE LA CHANSON ne le quittent pour sceller un nouveau partenariat avec CBS, un autre label dont on parlait beaucoup en 1965/66 et qui abritait déjà des vedettes comme Joe DASSIN, Charles DUMONT, BARBARA...


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