• Jean-Pierre CALVET faisait encore partie de l'équipe en cette année 1982 difficile à tous points de vue !


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  • Gilbert est atteint de... Compagnonite !Vous ne le verrez sans doute jamais sur la page Facebook de notre ami Bruno MALLET parce qu'Internet ça n'est pas trop son truc à Gilbert ! Mais, il n'en reste pas moins que l'homme* reste, encore aujourd'hui, l'un des premiers à avoir cru en Belgique au miracle COMPAGNONS DE LA CHANSON. Au point même d'y créer un club en 1964, sans doute l'une des premières associations pro-Compagnons à s'être créée à Bruxelles. Ne serait-ce que pour tenter de jeter un pont entre tous leurs admirateurs belges, pour échanger des informations sur le groupe, et pouvoir aller aux différents spectacles ensemble. Une initiative qui lui permettra de rencontrer celle qui partage depuis son existence et qui sera parrainée par le boss en personne : Jean-Louis JAUBERT (voir ci-dessous)

    C'est vrai que 1957, ça n'est pas hier et qu'en Belgique, à cette époque-là, les COMPAGNONS DE LA CHANSON avaient déjà un bon début de notoriété qu'ils avaient commencé à conquérir dès le début de leur partenariat avec la grande PIAF. Aussi, quand tout gamins, reçurent-ils avec son frère et sa sœur un premier électrophone, se mirent-ils ensemble à acheter leurs disques dont le fameux Si tous les gars du monde faisait partie. Il avait, quant à lui, aimé leurs harmonies vocales et leur façon de chanter et il admet être entré, depuis, dans une sorte de "Compagnonite". Gilbert, soyez rassuré ! Vous n'êtes pas le seul en Belgique à être resté fidèle aux COMPAGNONS DE LA CHANSON ! Et tant mieux ! Nous avons pu le mesurer sur ce site qui nous vaut d'échanger régulièrement avec ces amis belges des COMPAGNONS.

    "En 1961, écrira-t-il bien plus tard dans l'hommage conçu par Christian FOUINAT auquel il s'était associé dès les premiers instants, la première fois que je les ai vus sur scène... leur tour de chant était encore supérieur à l'écoute de leurs disques. J'ai été fasciné ! Le fait de les voir, de leur parler, la gentillesse et la simplicité des Compagnons, tout cela m'a touché. Leur sens de la mise en scène, leur travail, leur exemple unique dans la chanson, leurs sketches très bien conçus, leurs chansons gaies et optimistes, tout cela m'a ravi. La très belle voix de Fred MELLA, face au contre-chant du chœur donnant ainsi le fameux son Compagnons, l'apport des chansons de Jean BROUSSOLLE, Jean-Pierre CALVET... l'arrivée de GASTON qui a amené une fameuse dose de globules rouges donnant ainsi un bon coup de jeune à l'ensemble aussi."

     * Gilbert DONCQ

    Gilbert, notre ami belge, se dit être atteint de... Compagnonite !


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  • L'un des reportages les mieux ficelés qui soient que ce A BOUT PORTANT réalisé à l'été 1969 par l'équipe de Jacqueline JOUBERT et présenté par Martine LEPAGE qui les avait suivis lors d'une tournée d'été ! De la Charente au Périgord, vous retrouverez la plupart des extraits des grands succès auxquels vous vous êtes déjà habitués. Un film magique avec en prime les dernières semaines vécues chez les COMPAGNONS DE LA CHANSON par Guy BOURGUIGNON et son passage à Périgueux où on le retrouve avec sa grand-mère, Maman Atou pour le centenaire de celle-ci.

    Dans quelques jours - le 27 - on se souviendra que Guy le régisseur, qui se voyait bien être COMPAGNON sans monter sur scène, était né un 27 juillet, en 1920, à Tulle, une ville où il a passé toute son enfance.


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  • Difficile de passer sur une chanson restée hélas méconnue. Cette Italie qui chante en lui nous permet de retrouver le Fred MELLA que nous appréciions beaucoup chez les COMPAGNONS DE LA CHANSON. 


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  • La terre est basse et je vois le soleil si haut

    Que j'aimerai m'arrêter au flanc d'un coteau.
    Mais la moisson va se lever pour nous demain
    Et nous la brasserons à pleines mains.
    La terre est basse et là-haut, le soleil si chaud,
    Que je voudrais m'endormir au bord d'un ruisseau.

     

    Moisson (1957)...Encore une bien belle chanson que cette Moisson due à l'accordéoniste Louis FERRARI, l'un des auteurs du Domino d'André CLAVEAU et à René ROUZAUD, un compositeur auquel on doit aussi La Goualante Du Pauvre Jean.

    Moisson est l'une des premières chansons enregistrées avec Jean-Pierre CALVET et sans Le P'tit Rouquin Jean ALBERT ! C'était en 1957, et les COMPAGNONS DE LA CHANSON venaient de s'illustrer à La Gaieté Lyrique dans Minnie Moustache !

    A noter que ce titre sera également interprété par la suite par Armand MESTRAL, François DEGUELT et Yves MONTAND.


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  • Un moment rare, celui de la visite des COMPAGNONS DE LA CHANSON chez les BROUSSOLLE près des Saintes-Marie-de-la-Mer en Camargue. Pour le plus grand plaisir de ceux qui avaient pu capter ce moment rare, Jean s'était remis au piano pour jouer cet air si entraînant que Gilbert BECAUD avait composé en 1955 aux Etats-Unis en lui demandant lors d'un entretien : "Alors, Jean, raconte !". Quasiment sept ans après les avoir quittés ! Comme s'il pouvait avoir oublié toutes ces belles années vécues qui, malgré le stress des tournées, leur avait permis de laisser en héritage un répertoire à tomber à la renverse.


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  •  

    Il se peut que vous n'ayez pas encore vu la page Facebook des "Amis des COMPAGNONS DE LA CHANSON" animée par Bruno MALLET et Valérie BROUSSOLLE. Si tel était le cas, vous découvrirez ci-dessus l'extrait vidéo qu'il avait bien voulu mettre en ligne dans un but promotionnel l'an passé. Bien leur en a pris car leur page Facebook Compagnons est en train de voler de record en record avec près de 1.300 membres !

    Ces très belles images de nos amis se préparant avant un récital et en touristes dans un pays étranger sont inoubliables !  


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  • Angelo Les Compagnons de la chanson par bmbruno0

     

    Cette chanson que les COMPAGNONS DE LA CHANSON finissaient de mettre au point à la fin de l'année 1969 marquent aussi la fin de leur collaboration avec le regretté Guy BOURGUIGNON. Au moment même où, comme le signale Hubert LANCELOT dans son Nous les Compagnons de la Chanson ils étaient en train d'apprendre à jouer de la mandoline pour pouvoir interpréter cet Angelo.

    En écoutant cette chanson, nous ne pourrons donc qu'avoir une pensée particulière pour ce grand homme qu'était Guy BOURGUIGNON. Et pas seulement par la taille !


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  • "Je viens de terminer un montage sur les Compagnons de la Chanson ; je me suis aperçu qu'il n'y avait presque rien sur le Net à leur sujet, et qu'on ne parlait jamais d'eux. J'ai fait quelques recherches ; voici le résultat !" disait l'été dernier un certain Olyves en présentant sur YOUTUBE un travail de montage très bien réalisé. Un propos qui nous avait vu réagir sans en vouloir à l'intéressé. Parce qu'un créateur peut près bien, et c'est très fréquent aujourd'hui et nous en connaissons quelques-uns, rester enfermé dans sa passion et sa production sans s'intéresser à ce qui se passe autour de soi ni à ce que font les autres. Nous lui avions d'ailleurs posté ce message :

    "Permettez-nous tout de même de vous dire au passage, cher(e) Olyves, que ce presque rien que vous évoquez sur votre page YOUTUBE regroupe tout de même quelques initiatives dont il serait surprenant que vous n'ayez pas entendu parler depuis la fin 2006, date à laquelle notre ami Bruno MALLET a créé son livre d'or. Vient de s'ajouter également à ce presque rien une page Facebook complétant nos échanges, qui est extraordinairement active, qui regroupe onze cent personnes. Ils n'attendent tous que vous. En attendant le plaisir de vous compter parmi nos fidèles ici même..."


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  • Quand on l'entend encore au hasard des ondes interpréter son "monde merveilleux", l'une de ses plus belles chansons qui n'a pas pris une ride depuis, avec ce timbre si particulier et cette voix si chaude, on a du mal à s'imaginer que Louis ARMSTRONG nous ait quitté voici déjà... plus d'une quarantaine d'années ! C'était le 6 juillet 1971 et celui que l'on surnommait Satchmo à cause de la taille de sa bouche en forme de sacoche n'avait que 69 ans !

    Avec ce Merci Satchmo sorti à l'occasion de sa disparition en cette année 1971, Jean BROUSSOLLE avait voulu rendre hommage à ce géant du jazz et trompettiste de talent qu'il aimait beaucoup et qui nous aura laissé quelques belles petites choses. On sait qu'avant de devenir COMPAGNON DE LA CHANSON, Jean s'était souvent produit dans les caves parisiennes enfumées de Saint-Germain-des-Prés et qu'il en gardait un souvenir qui transparaît d'ailleurs dans son Temps des étudiants. D'où cet intérêt pour ARMSTRONG.


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