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Les vertes années des Compagnons...
Ah AZNAVOUR ! Ami de Fred MELLA, il a également vécu aux côtés de la grande PIAF à partir de 1947. Il est donc devenu, au fil des années, indissociable de l'histoire des COMPAGNONS DE LA CHANSON comme peuvent en témoigner ses apports tout au long de quasiment quarante années de partenariats divers.
Du premier titre Je n'ai qu'un sou écrit au retour d'une tournée en Suisse avec Edith et son complice ROCHE, durant laquelle, écrira-t-il dans Le temps des avants*, il prétendra comme nous le relations dans un précédent article à en "déniaiser" quelques-uns, à ce Un adieu, ce n'est pas un adieu qui laissait supposer tant de choses qui ne se sont pas réalisées ! On ne saura jamais si dans ces vertes et tendres années, il avait inclu ces fameuses années passées, plus à faire la fête, qu'à se produire en spectacle ? Un extrait qui montre aussi que cette voix de Charles AZNAVOUR longtemps considérée comme un frein à une carrière d'interprète à cause de ce timbre si particulier avait enfin, au début des années soixante, trouvé son chemin. Peut-être ne manquait-il à l'affaire qu'un nouveau nez à cet artiste pour qu'il sente mieux les choses ? Merci Edith !
* Publié en 2003 chez Flammarion
« Chers amis, nous avons besoin de vous !A l'automne 1956, il devait remplacer Jean Albert... Et puis... »
Tags : compagnons, adieu, aznavour, vertes annees
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