• Comment oublier ce qu'on a vécu si jeune ? Roger MANSUY (ci-contre), lui, il n'avait pas oublié. Longtemps après. Ni ses COMPAGNONS DE LA MUSIQUE comme il les appelle, ni l'ambiance qui prévalait alors au moment même où l'occupant nazi était bouté hors de nos frontières. Il y avait, disait-il dans sa postface de l'ouvrage de Jean-Jacques BLANC qui est en cours de réédition, un peuple allemand venu les écouter et qui les avait chaleureusement applaudis. Même lorsqu'ils avaient tous chanté le Chant des Partisans à Fribourg et que, tous ensemble, ils avaient observé une minute de silence en mémoire des disparus des deux camps. Vous êtes les COMPAGNONS de l'ESPERANCE leur avait dit une Allemande. Roger MANSUY imaginait déjà que Français et Allemands pourraient un jour "pétrir ensemble un ciment pour la paix". 

    Non, Roger n'avait pas oublié. Encore moins son invitation à assister à la présentation à Cran Gevrier de cet ouvrage sur les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE - le premier - que nous avions publié en octobre 2008 et auquel il avait accepté de collaborer. Juste avant d'effectuer le déplacement pour Annecy, il avait adressé à sa fille Anne une lettre où son impatience n'était pas feinte. Il avait même préparé pour l'occasion une superbe déclinaison de poèmes que vous trouverez ci-dessous. Gageons qu'il aurait sans doute apprécié la nouvelle maquette qui comporte cette fois-ci beaucoup plus de pages consacrées à ce qu'il a vécu, lui, entre 1945 et 1947. Juste avant qu'il quitte lui aussi le groupe. 

    " Bien entendu, dit Roger, ce sera pour moi un grand plaisir d'y participer et de rencontrer deux ou trois anciens des Compagnons de la Musique dont Marc Herrand qui m'a envoyé son ouvrage remarquable, co-écrit avec son épouse. Oui, c'est vraiment une perspective magnifique et je te remercie grandement par avance de m'emmener à Annecy. Et comme je ne peux, ni ne veux, être un témoin "passif" et qu'il n'existe plus beaucoup de témoins directs de ces années difficiles de "l'occupation", j'ai l'intention de participer modestement en offrant quelques textes poétiques, pendant 12 à 13 minutes pas plus en hommage aux Compagnons de la Musique. Je ferai demander d'ailleurs que chaque texte offert ne soit pas applaudi, je les enchaînerai dans le silence; ce qui aide à la concentration aussi bien pour moi que pour les auditeurs. Applaudissements simplement après le dernier texte de J. Brel "Quand on a que l'amour". Lors de certains concerts "compagnons" un acteur du théâtre Heberlot de Paris (Jean Beranger) offrait des textes poétiques très en harmonie avec notre programme de chansons, ça plaisait bien à toute la troupe !

    Un magnifique souvenir qui nous aura apporté beaucoup d'émotion en voyant tous ces grognards de la Chanson française s'embrasser en se retrouvant. Parfois des années et des années après !

     

     

     

     


    votre commentaire
  • undefined

    Parmi les rares épouses à ne pas avoir connu la rue de l'Université : Yvette GIRAUD, l'épouse de Marc (à gauche) et Mireille SABBAT l'épouse de Gérard (à droite).

     

    Mimi LANCELOT, Simone BOURGUIGNON de Périgueux, Ginou RICHER et Paulette BOURGUIGNON, Jacqueline FRACHON, Françoise CHARBONNEAU-BUISSONNEAU, Suzanne AVON-MELLA, Vivianne SABBAT, Jacky MELLA, Brigitte BROUSSOLLE, Madeleine ROBINSON, Marie-Pierre SANDRE, Hélène et Annie CALVET, Josepha CASSEZ, Mireille SABBAT... Certaines d'entre elles ont fréquenté, parfois même assidûment au cours des premières années, le pied-à-terre de la rue de l'Université dans le VIIème, où toute la petite troupe se retrouvait pour prendre les indispensables et grandes décisions. Puis également au cours des années suivantes lorsque, partis vivre ailleurs avec les leurs, ils continuaient à s'y retrouver de temps à autre ! Nous n'évoquerons pas les drames liés à la disparition de certaines d'entre elles en évoquant les propos tenus par Hubert LANCELOT dans son : « Nous les Compagnons de la Chanson ». Nous nous demanderons seulement si sans leur soutien constant, les COMPAGNONS DE LA CHANSON auraient réussi une si longue et fertile carrière ? On devine la réponse sans l'entendre explicitement.

    Pourtant, combien de fois ont-elles retrouvé leurs héros à l'état de zombies sortant de leur retraite ! Ou, arborant un beau bronzage au retour d'une tournée lointaine comme celle entreprise au Brésil ! Pour les dédouaner, il faut dire que les COMPAGNONS DE LA CHANSON ne manquaient jamais une occasion de leur adresser des nouvelles lorsqu'ils étaient privés de leur compagnie. Et jamais elles ne recevaient autant de missives aussi abondantes et mélancoliques que nostalgiques qu'au cours des toutes premières années avant qu'elles soient autorisées à les suivre en tournée. Hubert le précise dans son ouvrage : « A Noël, les Compagnons sacrifiaient au rite de la messe de minuit après le spectacle, puis ils regagnaient leur chambre et terminaient leur soirée devant une feuille de papier ». Une époque héroïque s'il en fut et un clin d'oeil qui contredit ce que pensait Edith PIAF des femmes lorsqu'elle disait qu'elles feraient capoter le groupe.   

    Ces séparations ont effectivement vécu au cours des dernières années car les femmes des COMPAGNONS avaient trouvé un excellent moyen pour ne pas perdre complètement le lien avec leurs hommes. Chacune d'entre elles était à tour de rôle désignée pour suivre la tournée et, comme l'a avoué Hélène CALVET, celle dont c'était le tour avait donc le privilège, pendant un temps donné, de compter neuf maris différents... et autant de boutons à recoudre, de choses à remettre en place ou de situations embrouillées à démêler ! Même si elles s'appréciaient, il n'était donc pas question qu'elles suivent toutes en même temps une tournée, à plus forte raison à l'étranger, loin de leurs bases. Hélène CALVET ne conservera d'ailleurs pas un excellent souvenir du périple en URSS car, bien que lassée de supporter des usages différents, elle ne pourra repartir faute de l'accord des Soviétiques !

    Si vous voulez en savoir un peu plus, un article en version PDF vous attend qui n'a qu'un défaut, celui d'être un peu désuet et de ne pas évoquer les dernières élues.  

    http://ddata.over-blog.com/0/58/97/52/9eme-femme.pdf 


    votre commentaire
  • Le vent pourra pousser
    Le cri de sa colère
    En frémira la terre
    Je t'aimerai d'amour
    Les cieux pourront tonner
    Au plus gros de l'orage,
    Effrayer l'enfant sage,
    Je t'aimerai d'amour...


    Vous connaissez sûrement la suite si vous vous êtres procuré l'un des CD de René MELLA*, à notre avis l'une des plus belles chansons de ce disque. 

    Ce que vous savez peut-être moins, c'est que l'auteur des paroles de ce Je t'aimerai d'amour a également publié une grille de mots croisés dans l'ouvrage hommage de Christian FOUINAT que nous avons publié l'an passé. D'ailleurs, si vous vous êtes amusé à la garnir, il est probable que vous ne saviez pas que c'était le même Jean PELISSON qui avait apporté à René MELLA sous la forme d'un poème un très beau texte dont "Monsieur qu'il fait bon vivre" a fait l'un de ses derniers succès... Comme il le confesse dans son témoignage-hommage publié dans l'ouvrage de Christian FOUINAT, toute l'enfance de Jean PELISSON aura baigné dans le chant choral et ce n'est donc pas surprenant qu'il se soit ensuite investi dans la direction d'un coeur d'hommes et qu'il apprécie parallèlement nos amis les COMPAGNONS DE LA CHANSON depuis une soixantaine d'années.

    Nous n'avons pas souvent l'occasion de parler de l'homme ni de cette merveille interprétée par notre ami René qui méritait un sacré coup de chapeau. Voilà qui est fait ! Et si vous n'avez pas encore eu l'occasion de l'entendre interpréter ce bijou, nous ne surions que vous y inviter ! Sans oublier de garnir la grille de mots croisés Compagnons que vous livre Jean PELISSON dans Les Compagnons de la Chanson : des marchands de bonheur, allez savoir pourquoi.

    (*) 


    votre commentaire
  • (hommage à JL Jaubert )- Les compagnons de la... par dividu

     

    Pour commémorer à leur façon la disparition de leur bienfaitrice, les COMPAGNONS DE LA CHANSON ont intégré en 1975 à leur répertoire cette GRANDE DAME, fruit d'un travail réalisé par Michel MELLA et de Pascal DUFAR. Avec, pour conclure ce magnifique hommage à un personnage qui aura beaucoup compté pour eux la voix même d'Edith avec ce : "C'était une histoire d'amour". Un détail savamment pensé et mis au point qui rend encore plus beau cet hommage.

    Un grand moment d'émotion ! 


    votre commentaire
  • le-nezet-lyon-05.jpg

    Chaque jour qui passe nous voit découvrir de nouvelles approximations et une série d'affirmations que jamais personne n'a contestées ou tout simplement vues... D'où l'importance du travail qui est actuellement effectuée en collaboration avec les Familles LIEBARD et MEYER. Longtemps après avoir réuni d'autres témoignages auprès des Familles MANSUY et CHASSOT-GUERRIER qui nous avait été considérablement utiles en 2008. Nous sommes convaincus que les recherches actuellement entreprises passionneront ceux qui s'intéressent réellement aux conditions qui auront vu la création des COMPAGNONS DE LA CHANSON et, plus que leur création, quelle a été le cheminement d'un projet. Entre la grande débâcle de juin 1940, un pays à la recherche d'une identité, et la volonté de Louis LIEBARD de mettre en place les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE grâce à l'aide de ses amis scouts dont nous n'avions pas parlé suffisamment voici sept ans. Car ils avaient pris largement leur part dans son processus de création !

    Nous nous sommes aperçus que beaucoup, par exemple, ignorent encore la différence qu'il y avait au début du dernier conflit mondial entre les COMPAGNONS DE FRANCE et les COMPAGNONS de la MUSIQUE ! C'est aussi pourquoi un article a été consacré ici voici quelques semaines avec quantité d'informations utiles à la connaissance. Deuxième exemple : peu avaient réagi jusqu'alors sur l'inexactitude qui réside sur les données même dont s'est inspirée la Municipalité lyonnaise pour rédiger le texte de la plaque qui a été apposée sur le portail du 10 rue de Champvert en juin 1990. Une rue que l'on appelait encore du nom de chemin de Champvert durant la guerre et l'occupation nazie. A une époque où l'endroit était toujours considéré comme la banlieue lyonnaise et non comme une artère du 5ème arrondissement de la ville de Lyon. Un entretien que nous avons eu avec les enfants LIEBARD récemment nous permet de mieux connaître ce qui a prévalu lors de la pose de cette plaque. Il est regrettable, nous ont-ils dit, que nous n'ayons été, ni consultés, ni même invités à cette cérémonie. Nous nous étions déjà étonnés, pour ce qui nous concerne, du peu d'enthousiasme qu'avait entraîné notre première dédicace de décembre 2007, les courriers et invitations adressés à la municipalité étant restés sans réponse. Un manquement difficilement explicable alors que l'inauguration de la place des Compagnons, déjà peu relayée au plan médias, hors le département du Rhône, s'était pourtant révélée être un franc succès. Hélas, madame la Maire, vos priorités ne sont sans doute pas les nôtres si tant est qu'elles l'aient été un jour ! C'est dommage pour la Chanson française et dommage aussi pour la connaissance et ce que nous laisserons derrière nous à des enfants !

    C'est pourtant bien en 1941, à l'automne, que les premiers éléments des COMPAGNONS de la MUSIQUE ont gagné sous l'impulsion de Louis LIEBARD la villa du Point du Jour et qu'une longue maturation a préludé à cette création. Le souci de l'exactitude historique aurait donc voulu que l'on trouve sur cette plaque, non comme on peut le voir le : C'est ici, au printemps 1942, qu'ont pris naissance les Compagnons de la Chanson mais plutôt : C'est ici à l'automne 1941 qu'ont pris... Il faut bien dire que les multiples sites consacrés à l'histoire musicale évoquant la carrière de nos amis les COMPAGNONS sont truffés d'énormités plus grosses les unes que les autres et que, dans ces conditions... Ce manque de rigueur a même été jusqu'à la publication de versions qui divergent à propos de l'arrivée de tel ou tel élément au sein de l'équipe de Louis LIEBARD ou à propos de la date de telle ou telle représentation ou de tel ou tel autre fait d'importance. C'est dire si nous avions à travailler à une recherche approfondie, souvent menée avec le concours de la fille de Marianne CHASSOT, ou de notre ami Marc HERRAND. Qu'ils en soient ici tous remerciés car sans l'apport de leur documentation et de leurs témoignages, il aurait été difficile d'être rigoureux et de faire le tri.

    Ce que nous espérons avec toute l'équipe qui, autour de DECAL'AGE PRODUCTIONS éditions a contribué à cette nouvelle rédaction, c'est que vous preniez autant de plaisir à lire cette réédition qui comprendra tout de même plus de soixante pages de précisions supplémentaires et de documentsque nous en avons eu à la créer. Compte tenu du tirage limité, il serait préférable de réserver avant la fin de semaine. Une deuxième enveloppe de commandes sera néanmoins traitée sur décembre avec les risques inhérents à une période d'acheminement assez complexe et un coût bien moins serré. Rappelons en effet que LA POSTE augmentera ses tarifs d'affranchissement de 12 à 15% à compter du 1er janvier, ce qui nous amènera à devoir proposer une nouvelle distribution. 


    votre commentaire
  •  

    --les compagnons de la chanson (61... par trizone

     

    Comme le disait à l'époque fort élégamment Madame de CAUNES, les paroles de la musique de Dimitri TIOMKIN sur le film NAVARONE ont été écrites par Jean BROUSSOLLE en 1961. Ce qui vaudra aux COMPAGNONS DE LA CHANSON d'intégrer à leur répertoire un nouveau succès après celui tiré d'une autre bande de film : Si tous les gars du monde. Il y en aura quelques autres tout au long des presque quarante années de chansons du groupe ! Qu'on se souvienne de La marche de Sacco et Vanzetti ou de C'est la gloire de l'amour tirée du film Devine qui vient dîner ! Voire encore de Surcouf

     


    votre commentaire

  • C'était mon Copain par verclaud

     

    Un travail remarquable dû à la passion de notre ami Claude VERRIER le créateur du site musical des COMPAGNONS DE LA CHANSON ! Les images et extraits donnés à voir accompagnent magnifiquement le thème de cette chanson qui célèbre l'amitié. Durant l'interprétation de C'était mon copain, on retrouvera des extraits d'émissions qui ont fait le tour du monde avec ceux que nous n'avons pas oubliés : Jean BROUSSOLLE, Guy BOURGUIGNON, Hubert LANCELOT, Jean-Pierre CALVET... 

     


    votre commentaire

  • AVANT L'AUBE par verclaud

     

    L'une des dernières chansons les plus belles : Avant l'aube, dont une adaptation française d'un succès de Neil DIAMOND avait été réalisée par Michel MELLA en 1973. 


    votre commentaire
  •  

     

    Au début des années quatre-vingt dix, tout n'était pas encore foutu au pays des médias. Hubert LANCELOT venait, il est vrai, de sortir son Nous les Compagnons de la Chanson qui lui avait valu d'être reçu avec Fred MELLA, Jean-Louis JAUBERT et Gérard SABBAT sur le plateau de Sacrée Soirée de Jean-Pierre FOUCAULT. Et la Cinq, pourtant sur le point de disparaître, avait consacré aux COMPAGNONS DE LA CHANSON, parallèlement à TF1, plusieurs diffusions d'archives. Archives dont a été tiré l'extrait ci-dessus que nous devons à un fidèle admirateur Pierre MICHAUD. Un document prélevé sur la célèbre émission LUMIERES DU MUSIC HALL de Jacques PESSIS.

    Un extrait que vous reverrez, nous en sommes sûrs, avec beaucoup de plaisir. Notamment à cause de la diffusion de l'un des célèbres sketches dus à Jean BROUSSOLLE : Les Ecossais. Un autre essai britannique : Impressions d'Angleterre, une fantaisie musicale due à Jo FRACHON et Marc HERRAND après une visite des COMPAGNONS DE LA CHANSON dans une université anglaise n'avait, c'est vrai, pas été transformée avec suffisamment de succès quelque temps auparavant (1950) et il devait être resté une envie d'évoquer nos amis grands bretons et une de leurs coiffes estudiantines. Impressions d'Angleterre parfois donnée en représentation ne fera d'ailleurs pas l'objet d'un enregistrement.


    votre commentaire
  • sans-broussolle-et-bourguignon.jpg

    En moins d'une année, l'audience a sensiblement progressé sur les sites et pages consacrés aux COMPAGNONS DE LA CHANSON. Au point que dimanche, et pour la deuxième fois en huit jours, vous avez été plus de 400 à vous connecter sur ce site et sûrement même davantage à aller rendre visite à notre ami Bruno MALLET sur sa page Facebook des "amis des Compagnons", Bruno qui fêtait voici peu de temps son 600ème adhérent. Je n'oublierai pas ici le blog tenu par ma coéquipière Sybille ni le site musical de notre autre ami Claude VERRIER grâce auquel, je ne cesserai jamais de le répéter, nous devons les tout premiers extraits vidéo et ceux qui nous ont permis de vous proposer, avant que Facebook ne voit le jour, une quantité non négligeable de petits bonheurs dont vous êtes toujours aussi friands.  Mais il est vrai que c'était à une époque où la guerre entre Dailymotion, Youtube, WAT et d'autres n'avait pas encore pris les proportions qu'elle a pris dernièrement.

    Ce site fêtera dans un peu plus de trois mois ses huit ans de présence et après une courte interruption, il a repris quelques couleurs. Et pas seulement au cours de ces tristes journées de l'année 2013 ou du mois d'août 2014 qui nous avaient vu apprendre la disparition de l'un de ceux que nous adorions. Au point que d'autres objectifs de fréquentation plus ambitieux ne sont plus hors d'atteinte, comme ils l'étaient au début de l'année 2010. Ce qui nous ravit avec Sybille puisque la dernière fois que ce site avait enregistré 5.000 visites en un mois, c'était... en 2008 ! Conclusion : les COMPAGNONS DE LA CHANSON continuent à faire rêver ! Mais, cela ne nous étonne guère, nous qui étions partis de l'idée que ce groupe ne méritait pas le traitement qui lui a été infligé par un trop grand nombre de médias.

    Louis PETRIAC    


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires