• Les inscriptions à la newsletter...Après plus d'un mois de difficultés, les inscriptions à la newsletter sont à nouveau enregistrées par EKLABLOG ! Sachez-le ! Je viens de tester personnellement le service et j'ai bien reçu le mail de validation m'inscrivant aux articles.

    Ceux d'entre vous qui avaient souhaité s'inscrire fin septembre dernier et dernièrement sans y parvenir peuvent à nouveau le faire ! Avec, bien entendu, nos excuses pour ce contre temps, indépendant de notre bonne volonté, comme on disait à Cognacq Jay, au bon temps de nos amis les COMPAGNONS DE LA CHANSON !


    votre commentaire

  • EDITH PIAF AMOUREUSE •*¨*•♫♪ _ Part.1 par Lucia_Ducrot

    France télévision 3 a prévu de diffuser lundi 9 novembre prochain un documentaire de Philippe KOHLY conçu en 2013 : Edith PIAF amoureuse en deux époques. Un extrait que nous vous invitons à regarder et où apparaîtront les COMPAGNONS DE LA CHANSON. Contrairement au film d'Olivier DAHAN : La môme et contrairement à beaucoup d'autres films où Jean-Louis JAUBERT et ses COMPAGNONS sont restés étrangement absents. Ce document avait déjà été diffusé en octobre 2013 pour le cinquantenaire de la disparition de la Grande Dame.

    Malgré la panne qui touche actuellement notre diffuseur EKLABLOG et qui nous prive d'images, vous devriez pouvoir passer un excellent moment. Surtout en cette Saint Hubert !


    votre commentaire
  • Les COMPAGNONS DE LA CHANSON interprétant Le temps des étudiants puis, sur la fin, accompagnant les musiciens de l'orchestre de Raymond LEFEVRE. Avec Guy BOURGUIGNON et Jean BROUSSOLLE ! L'un des grands moments de l'ORTF et l'un des meilleurs extraits des retransmissions télévisées... 


    2 commentaires
  • Vous avez dû le constater depuis ce matin : certaines, et même une grande quantité d'images, ont disparu des espaces que nous animons. Contactés, les animateurs d'EKLABLOG viennent de nous adresser ce message :

    Bonjour,
    Des serveurs de stockage neufs viennent d'être mis en place et sont en train de reprendre les données des anciens serveurs. Cette opération monopolise la puissance des serveurs de stockage et génère les problèmes que vous rencontrez. Soyez rassuré, vos données sont toujours là et tout devrait être rétabli au courant de la nuit.

    On en parle ici : http://doc.eklablog.com/chargement-images-dans-menus-ou-article-topic144454

    Restant à votre disposition,
    Cordialement,
    Stéphanie GINO
    Community Manager

     

    Nous vous recommandons donc de patienter sans chercher d'autres causes aux problèmes que vous pourriez rencontrer.


    2 commentaires
  • Comme on a souvent pu le voir au hasard d'un article de presse qui leur était consacré : ni copains, ni frères mais... complices ! C'est effectivement la meilleure définition que l'on peut faire des COMPAGNONS DE LA CHANSON et de l'ensemble qu'ils formaient ! Mais avouons que leur mode opératoire était tout de même bien curieux !

    Dans un interview donné par Jo FRACHON à un média, le plus grand d'entre eux le soulignait : jamais les COMPAGNONS DE LA CHANSON ne se serraient la main ni ne se disaient bonjour ou au-revoir ! Quant aux anniversaires ou aux fêtes... ! Quelqu'un a dit que la seule façon de vivre longtemps ensemble, c'est de rester séparés. Jamais ensemble à se déplacer pour être sûrs d'arriver, ponctuels, aux rendez-vous ! Une recette qui a toujours été mise en pratique par les COMPAGNONS ! On a dit que Guy BOURGUIGNON, disparu le premier en déc. 1969, avait coutume de dire à propos de leur ensemble : "Les COMPAGNONS, si je ne devais pas les voir demain matin, je serais ravi... Demain soir, je serais désespéré. Des propos qu'Hubert LANCELOT a toutefois attribués à Jean-Louis JAUBERT dans son Nous les Compagnons de la Chanson publié en 1989. 

    GASTON, qui n'avait jamais pu s'habituer à ces pratiques a été la seule exception des participants successifs à ne pouvoir observer cette règle. Mais il n'avait pas connu les COMPAGNONS DE LA MUSIQUE de la guerre ni ce qu'étaient les premières années vécues dans le giron d'Edith PIAF entre 1946 et 1948. Jamais non plus, en quarante ans, les COMPAGNONS ne se sont souhaité la bonne année voire une fête, ou même un anniversaire. Ou fait non plus le moindre cadeau. Et c'est vraiment là qu'est le secret des COMPAGNONS car à ce rythme de disputes, de désinvolture et de démissions fracassantes, le groupe aurait dû voler en éclats au bout de quelques mois. Or, il a duré plus de quarante ans pour certains comme Jean-Louis JAUBERT, Hubert LANCELOT et Fred MELLA ! Quand nous nous disputions, c'était toujours pour une raison professionnelle, disait GASTON. C'était à celui qui parlait le plus fort. Une fois, mon épouse avait assisté à l'une de ces discussions particulièrement animées. En rentrant, elle avait avalé un cachet d'aspirine et m'avait dit d'un air navré : c'est fini ! Maintenant, après ce que vous vous êtes dit, vous êtes fâchés à mort ! Mais, le lendemain, tout était oublié. Plus personne ne se souvenait de l'empoignade de la veille ! Hubert LANCELOT avait quant à lui précisé que leurs engueulades c'était souvent pour se chauffer la voix avant d'entrer en scène.

    Cela n'empêchait pas les bons sentiments et lorsque Guy BOURGUIGNON, l'un des piliers de la formation de base, a disparu en décembre 1969, Jean-Louis JAUBERT, son premier complice au sein de la structure JEUNESSE et MONTAGNE, a conservé affectueusement la pipe de son ami "Dents de lapin". Ebranlé à l'idée d'avoir perdu à jamais un ami, un frère qu'il côtoyait depuis plus de vingt-cinq ans, ce geste montre à lui seul quel état d'âme était celui de ces COMPAGNONS DE LA CHANSON ! Troubadours des temps modernes, disciples irréprochables de leur art, chez eux on s'était plutôt habitué à faire foin de toutes les prévenances ! Car, plus fort que tout, il y avait entre eux un état d'esprit et point n'était besoin d'y revenir éternellement en se rassurant par des gestes, même amicaux ou des présents !

     


    votre commentaire
  • A une époque où l'INA s'opposait beaucoup moins à la diffusion de certains extraits, nous avions retrouvés un extrait de l'émission VOYAGE SANS PASSEPORT d'Irène CHAGNEAU dans laquelle le regretté Guy BOURGUIGNON commentait un film qu'il avait réalisé. Sans doute en 1958, lors de sa collaboration avec le cinéaste Marcel CAMUS (tournage Orfeu negro) et de la tournée des COMPAGNONS DE LA CHANSON au Brésil.

    Si vous étiez intéressé(e)s par ce film, sachez que l'INA peut vous le procurer. Il vous suffira, simplement, de vous rendre sur le lien suivant : http://www.ina.fr/video/CPF86642638

    Guy BOURGUIGNON commente en voix off les images du reportage qu'il a réalisé sur les transports en commun de la ville de Rio de Janeiro. La circulation dense dans le centre de Rio et dans la baie, la foule dans les rues, les autobus et les tramways bondés avec les voyageurs dangereusement agrippés à l'extérieur, les maisons des favelas sur les collines de Rio (les morros), école de samba, femmes des favelas à la corvée d'eau, foule dans une gare de banlieue, voyageurs agrippés à l'extérieur des wagons, montée au sommet du Pain de sucre en téléphérique, montée à la terrasse du christ du Corcovado en chemin de fer à crémaillère, aéroport Santos Dumont.

     

     

    votre commentaire
  • Le violon de Tante EstelleVoilà une chanson porteuse d'une histoire qui est aussi celle de notre ami Christian FOUINAT. Et de sa découverte des COMPAGNONS DE LA CHANSON ! Comme il le raconte dans son hommage de 2007, c'est dans un théâtre de l'avenue Wagram à Paris, qu'il avait découvert en 1956 cette histoire surnaturelle et tzigane en quatre tableaux chantés avec quelques intermèdes musicaux. Le petit Christian avait déjà de l'oreille, onze ans, c'était un jeudi, et, à l'époque il n'y avait pas école ! Les COMPAGNONS participaient aux "Jeudis de la jeunesse" une émission radio d'Arlette PETERS et d'Alain SAINT-OGAN. On notera pour la petite histoire que Jean ALBERT n'avait pas encore quitté le groupe ! Ils interpréteront ce jeudi-là deux autres de leurs sketches : Le roi Dagobert et, bien entendu, Perrine était servante. C'est ce jour-là, reconnaît Christian, que je suis "tombé dans la marmite Compagnons !"

    Avec Les Tourlourous, ce Violon de Tante Estelle est sans doute l'une des toutes premières réussites sketches de Jean BROUSSOLLE ! Car il y en aura d'autres, beaucoup d'autres, grâce à une entente parfaite avec le maître de cérémonie et régisseur de l'époque, un certain Guy BOURGUIGNON !


    2 commentaires
  • Mets ton chapeauUne très belle musique de Jean-Pierre CALVET avec un air entraînant en diable ! Mets ton chapeau, écrite par Eddy MARNAY, comme quelques autres verso de succès n'est pas à dédaigner ! Sorti en 1965, sur un microsillon comportant encore quatre titres, aux côtés de Mon Espagnole, et Des milliers de soldats.

    A noter qu'Eddy MARNAY (photo ci-contre) est l'un des paroliers qui ont le plus travaillé pour la Chanson française. Témoin, la liste des artistes pour lesquels il aura écrit et dont son site donne un aperçu. A découvrir d'un clic !

     


    votre commentaire
  • Voilà encore une autre de ces chansons magnifiques de l'ère a capella des COMPAGNONS DE LA CHANSON ! C'est en mars 1949 que Maître Pierre écrite par Jacques PLANTE et composée par Henri BETTI a été enregistrée par nos amis.

    Les grands interprètes seront quelques-uns à interpréter ce bijou, parmi lesquels Yves MONTAND, LES TROIS MENESTRELS, Georges GUETARY !


    votre commentaire
  • ICharles Level vient de disparaître !l avait écrit pour les COMPAGNONS DE LA CHANSON des dernières années une adaptation française de cette fameuse Fleur à la main, reprise sur le coffret de CD Reader Digest de 2007. Une chanson due à Neil DIAMOND que vous pourrez entendre en cliquant sur ce lien que beaucoup ont découvert ces dernières années. Il avait également contribué à la chanson Piano, piano.

    Une grande majorité d'entre nous se souviendront sûrement des apparitions de Charles LEVEL dans Thé dansant, l'émission de Jacques MARTIN, diffusée le dimanche après-midi sur Antenne 2 où il lui arrivait de chanter quelques belles chansons. Sous le nom de Charlie Level et les Carnaval's, il avait enregistré de nombreux disques de reprises dans les années 60. On l'avait également aperçu chez MIREILLE dans son Petit Conservatoire de la Chanson. Il avait également fait des apparitions remarquées dans l'émission Les Grosses Têtes de Philippe BOUVARD, qui le voyaient improviser des chansons et faire des imitations. Le blog de R. VAN KAREMEL lui rend un hommage appuyé ce matin.


    votre commentaire